mardi 7 décembre 2010

Cantona et les banques : Initiative symbolique mais...

Cantona : Faire tomber le système !


Parmi les idées qui fusent pour tenter d'en finir avec les innombrables et gigantesques hérésies que les populations subissent, il est à noter celle de Eric Cantona, un des plus grands footballeurs de tous les temps. Par le biais d'un commentaire saisi à l'occasion d'une interview, Cantona a émis l'idée qu'en s'alliant avec des millions d'autres, chaque citoyen pouvait contribuer à faire écrouler le système financier actuel. D'après lui, il suffit que les gens aillent en masse vider leurs comptes en banque respectifs.


Pour diverses raisons, dont celle tenant à l'ignorance des populations quant "au jeu de dupes financier" et à ses subterfuges qui - heureusement pour les politiciens - échappent totalement à la plupart des citoyens, cette idée lancée en vrac a beaucoup de difficultés à susciter l'engouement de façon massive. Cependant quelques dizaines de milliers de personnes y ont adhéré et comptent suivre ce mouvement qui a lieu aujourd'hui, 7 Décembre 2010.


Des pages de facebook et des sites internet traduits en plusieurs langues ont relayé cette opération qui s'est étendue à d'autres pays que la France (Le Portugal en fait également partie).


L'initiative demeurera cependant symbolique :


- Symbolique de par son adhésion relative.

- Symbolique car elle ne propose pas "d'après". L'idée, qui au demeurant reflète la pensée citoyenne généralisée, pêche sans doute en ne proposant pas une suite cohérente et constructive, qui aurait apporté à ce mouvement plus de crédibilité et probablement beaucoup plus d'impact.

- Symbolique parce qu'elle ne créera pas de difficulté aux banques. En effet, vu que les banques ne possèdent en réalité qu'une portion infime des liquidités correspondant à la totalité de l'argent brassé, il faudrait pour les inquiéter qu'une "contagion" ait lieu, et que la somme globale retirée des comptes de façon concertée et massive représente plus de 10 % de la totalité de l'argent brassé par toutes les banques. En dessous de ces 10%, le système n'est pas mis à mal.


- Mais l'initiative est surtout symbolique, par le fait que l'idée de Cantona est révélatrice de prémices de prise de conscience de la part des populations littéralement spoliées par un système financier et une europe complice (1), qui ensemble ont endetté les Etats européens, aidés en cela par les dirigeants politiques des pays concernés qui font payer à leurs populations les immenses hérésies d'un système absurde, immoral, inefficace et destructeur.


Bien que symbolique, l'initiative de Cantona est cependant louable pour maintes raisons, et notamment par le fait que son but consiste à montrer du doigt un océan de dérives devenues insupportables. Mais son principal intérêt est probablement d'avoir marqué une étape charnière, celle du début du réveil des populations et de leur prise de conscience de l'énorme manipulation dont elles font l'objet. Les citoyens sont les dindons d'une gigantesque farce orchestrée par l'europe et la finance. Reste à savoir jusque quand ils accepteront de se cantonner à rester les simples pions d'un jeu totalement corrompu, et les innocentes victimes malmenées par une cohorte de coupables impunis.


"Le problème qui a été esquivé et pour lequel il faudra se battre tôt ou tard, c'est le conflit qui oppose le peuple aux banques" ! Lord Acton, historien anglais, 1834-1902.

"Quand l'injustice devient loi, la résistance est un devoir !" Adam Kokesh.



Révolution :

L'Histoire a montré que les révolutions ont toujours pour principale et réelle origine la finance. Dans nos sociétés devenues mondialisées par la force, le libéralisme financier destructeur est né grâce à de grandes doses d'imagination et d'inventivité. Une révolution peut donc désormais elle aussi prendre les formes les plus diverses, dont celles auxquelles on s'attend probablement le moins.


... La révolution serait-elle en marche ?


(1) (Article 104 du traité de Maastricht, (retranscrit dans le traité de Lisbonne) : L'UE a interdit aux Etats adhérents d'avoir recours à leur banque centrale ou de fabriquer leur propre monnaie, donc l'argent dont ils ont besoin pour financer la bonne marche du pays. Les Etats adhérents à l'UE sont donc obligés d'avoir recours à la finance privée en payant de lourds intérêts. Cette incroyable manipulation organisée par l'Europe et les financiers qui l'ont créé, a ainsi mené les pays adhérents à l'UE à s'endetter considérablement année après année, et ce, juste afin de pouvoir rembourser des intérêts. Et ce sont donc les populations européennes qui pourtant sont les victimes de l'Europe et de son système aberrant, qui sont sacrifiées en devant rembourser une dette qui n'est pas la leur, et qui n'est rien d'autre qu'un gigantesque racket organisé entre UE et banquiers.



L'Argent Dette 2 : Promesses Chimériques (LAD2) Paul Grignon 2010 FR intégral from Bankster on Vimeo.

La révolution est-elle en marche ?

La révolution est-elle en marche ?


Banquiers, financiers, agences de ranking : Constats...

- Crise financière et sociale crée par les conséquences de l'incompétence des financiers et la complicité des agences de ranking

- Banques qui abusent constamment leurs clients. (Le nombre de plaintes relatives aux abus bancaires ne cesse d'augmenter).

- Banques qui ne remplissent pas leur mission et se transforment en casinos (1)

- Pouvoir de la finance libéralisé à outrance et devenu complexe, anarchique, incontrôlable et incontrôlé.

- Main-mise de la finance sur les économies et les Etats. (Le capitalisme basé sur la production et créateur de richesse globale et d'emplois, s'est transformé en simple capitalisme financier virtuel et destructeur)

- Banques incompétentes qui s'effondrent et que les populations sont forcées de sauver (sans contrepartie, en sauvegardant ainsi un système inefficace, et sans aucune remise en question)



Union européenne : Constats...

- Critères de Maastricht aberrants car identiques pour tous les pays concernés, et ne tenant aucun compte des décalages et des spécificités de chacun d'eux (c'est comme soigner tous les malades avec un seul et même médicament)

- Arnaques européennes constantes

- Technocrates européens n'ayant aucune légitimité démocratique populaire. (Les membres de la commission européenne ne sont élus par aucun citoyen, et aucun citoyen n'a le moindre contrôle sur eux)

- Technocrates européens inutiles et ruineux, voire même très ruineux, et rien qu'en notes de frais chèrement payées par les populations.

- Citoyens européens espionnés / violation des droits fondamentaux des citoyens à la vie privée

- Conflits d'intérêts et dessous louches

- Parlement européen non représentatif des populations et inutile. (Concertations, ententes tacites et alliance de la plupart des partis représentés au parlement européen pour l'élection de la commission européenne)

- Europe-machination dirigée en fait par les banquiers et les lobbies (Influence déterminante des lobbies que l'on soupçonne d'être les vrais dirigeants de cette europe)

- Arrangements et obscrurité

- Union européenne qui méprise les citoyens et la démocratie ( Mépris des "votes NON" à la constitution européeenne de la France et des Pays Bas. Traités non soumis aux votes des citoyens de la plupart des Etats. Et le pire : obligation faite aux irlandais de revoter une seconde fois!) . Le tout pour arriver à un traité de Lisbonne maquillé et passé en force ! Après ce constat il semble vain et illusoire d'évoquer la notion de démocratie dans cette europe.

- Pays livrés aux banquiers par l'europe, et littéralement pillés (2). Puis une fois endettés jusqu'à l'asphyxie, jetés en pâture aux agences de ranking... qui les pillent davantage en appliquant des taux d'intérêt sur une dette-racket encore plus élevés.

- Sous l'appellation "d'Union européenne"; et sur les dessous sombres sur lesquels cette énorme machine lointaine et incontrôlable est organisée, se cache en réalité une véritable arnaque et une escroquerie titanesque créée par des banquiers, pour les banquiers et les lobbies, et au détriment des populations.

- Une zone Euro devenue une des zones les moins enviables de la planète et connaissant la plus faible croissance.

- Quelques dirigeants d'Etats, dont le Portugal, osent enfin commencer à évoquer l'éventualité de sortir de l'Euro. Ce qui ne pourrait être que bénéfique. Mais c'est malheureusement encore à demi-mot, piégés qu'ils sont par la souricière dans laquelle ils ont entraîné les populations.

- Une Europe qui a ruiné les économies et les populations, et qui a détruit les aspects sociaux des pays qui la composent.

- Une europe qui ne vit que par le maintien de sparadraps, qui est de plus en plus au bord de l'implosion, qui n'a pas été conçue pour ses citoyens, et qui s'est avérée un retentissant échec sur tous les plans.


Politiciens et société : Constats ...

- Mensonges des politiques

- Politiciens véreux

- Affaires étouffées, tant en France qu'au Portugal, ou confiées à un processus de pseudo-justice tenu par des amis

- Arrangements, copinages, lois pondues pour les amis; mais aussi hérésies, escroqueries maquillées, intérêts privés et familiaux, corruption grandissante.

- Etats devenus des Etats bananiers où la corruption politique grandit en ne respectant pas les valeurs Républicaines.

- Impuissance totale des dirigeants des pays, devenus de simples valets de l'UE (3)

- Manipulations gigantesques et manoeuvres politiciennes n'ayant que des buts électoralistes.

- Appropriation des médias de masse par les acteurs les plus riches des pays et/ou par des entreprises privées travaillant pour l'Etat.

- Main-mise par le pouvoir sur les directions des télévisions et des radios.

- Incompétence et improvisation de toutes parts (improvisation sur une réforme des retraites obsolète dès sa naissance et prévue pour être complètement revue en 2013. Taxe professionnelle sensée disparaître mais qui en fait renaît sous une autre forme. Bouclier fiscal remis en question. Auto-entrepreneurs trompés, etc.)

- Démentellement des services publics essentiels tels l'éducation et la santé, afin que les lobbies privés qui dirigent cette europe puissent faire éclore leurs business basé sur le remplacement à prix fort des services publics

- Populations qui sont obligées de souffrir afin de payer une dette qui est en fait un racket, puisque composée d'intérêts inutiles imposés par les traités européens

- Impôts directs qui ne servent plus au fonctionnement du pays, mais uniquement à payer les intérêts de la dette

- Fracas social, acquis sociaux anéantis, services publics détruits au profit des lobbies du privé, chômage, pauvreté, violence, misère, souffrances...

- Dirigeants politiques qui ne gouvernent plus dans les faits, et dont les choix se cantonnent à des mesures drastiques permettant de rembourser la dette.

- Dissimulation de la tentative de mise en place d'un nouvel ordre mondial, qui dominerait les populations ?


Questions logiques et légitimes

- Combien de temps les populations vont-elles encore tenir ce régime hallucinant sans se révolter contre l'hérésie généralisée finanço-politico-eurocrate ?

- Combien de temps les citoyens vont-ils encore permettre à cette europe de les appauvrir et aux malfrats de la finance de poursuivre leurs hérésies ?

- Quand les pays vont-ils enfin sortir de cette europe et de son médiocre concept afin de ne plus subir ses hérésies et l'endettement gigantesque que ses règles imposées génèrent ?

- Combien de temps les citoyens-consommateurs obligés par la loi d'être assujettis au système bancaire décadent et véreux, vont-ils encore accepter d'être les victimes d'un système qui leur est imposé ?

- Comment les populations vont-elles continuer à accepter de s'appuyer sur des politiciens rendus totalement impuissants par l'UE, et étant en majorité déconsidérés car n'oeuvrant pas pour l'intérêt général ?

- Une révolution est-elle en marche dans les pays européens pillés par l'europe et les financiers qui la dirigent ?


Ce sont les grandes questions qui sont, soit sur toutes les lèvres; soit dans la plupart des pensées.

Chacun ne peut que constater que cette europe est un échec retentissant sur tous les plans. L'Euro, qui a lui aussi contribué à appauvrir les populations, va probablement imploser tôt ou tard. Ce sont les plus grands financiers de la City de Londres eux-mêmes, qui désormais le pensent.

Mai 68 est de plus en plus ouvertement évoqué. La colère gronde parmi les couches sociales moyennes et basses. Les populations sont sacrifiées. On injecte des Milliards dans les pays asphyxiés par les financiers, pour en réalité aller sauver les asphyxieurs. Les politiciens sont totalement discrédités. Les appels à l'initiative citoyenne commencent à apparaître sous les formes les plus diverses.

Les idées fusent... Voir une initiative émise par le footballeur Eric Cantona


(1) Comme en jouant sur les marchés financiers sauvagement libéralisés et incontrôlés, les banques ont des perspectives de gains immensément supérieures à celles qui consistent à effectuer des prêts aux populations ou aux entreprises, les banques préfèrent donc aller risquer des sommes considérables sur des produits financiers (qui s'avèrent parfois désastreux), plutôt que remplir leur vraie mission.


(2) (Article 104 du traité de Maastricht, (retranscrit dans le traité de Lisbonne) : L'UE a interdit aux Etats adhérents d'avoir recours à leur banque centrale ou de fabriquer leur propre monnaie, donc l'argent dont ils ont besoin pour financer la bonne marche du pays. Les Etats adhérents à l'UE sont donc obligés d'avoir recours à la finance privée en payant de lourds intérêts. Cette incroyable manipulation organisée par l'Europe et les financiers qui l'ont créé, a ainsi mené les pays adhérents à l'UE à s'endetter considérablement année après année, et ce, juste afin de pouvoir rembourser des intérêts. Et ce sont donc les populations européennes qui pourtant sont les victimes de l'Europe et de son système aberrant, qui sont sacrifiées en devant rembourser une dette qui n'est pas la leur, et qui n'est rien d'autre qu'un gigantesque racket organisé entre UE et banquiers.


(3) Environ 80% des lois sont décidées par l'UE. Les pouvoirs politiques des pays adhérents à l'UE sont donc réduits à leur plus simple expression, car conditionnés au respect des textes, des ordres, et des directives européennes. Les pouvoirs politiques en place ne peuvent donc plus influer véritablement les politiques de leurs pays respectifs. D'ailleurs, puisque la marche globale d'un pays est obligatoirement conditionnée par sa dette, on peut même affirmer les pays n'ont actuellement pratiquement plus aucune marge de manœuvre puisque les traités européens (1) les ont endettés. Les impôts directs payés par les populations, au lieu de servir le pays, ne servent plus qu'à rembourser les emprunts de la dette. Ce qui a évidemment pour conséquence le désastre économique et social auxquels les populations impuissantes assistent.

Union européenne, Banques, Dirigeants politiques

Union européenne, Banques, Dirigeants politiques


Les citoyens européens médusés et abasourdis assistent aujourd'hui aux hérésies générées par ces trois "entités".

Il serait aujourd'hui dérisoire et illusoire de vouloir "corriger les absurdités d'un de ces piliers" sans en corriger l'ensemble. Après le point de non-retour que les Etats membres de l'UE ont atteint, ces trois axes sont en effet désormais intimement imbriqués.

L'union européeenne

La racine du mal : l'Union Européenne. D'une part cette entité a été créée par des banquiers et pour les banquiers, excluant les citoyens de son essence ainsi que de toute décision et possibilité de contrôle. D'autre part cette UE a pris une emprise considérable sur la législation des Etats membres tombés sous son contrôle. Et pour peaufiner ce tableau non réjouissant, les traités de cette UE ont mis en place l'endettement massif et irresponsable des Etats membres. Cette europe est donc responsable d'avoir mené les économies, les pays et les populations, jusqu'au point critique et insupportable dans lequel ils se retrouvent désormais. (1).

Les dirigeants politiques

La conséquence directe est que les dirigeants politiques des Etats concernés ne dirigent pratiquement plus leurs pays respectifs, et encore moins dans l'intérêt général. D'une part parce que l'emprise législative européenne est trop forte et les rend impuissants.

D'autre part parce que l'essentiel de leur tache se cantonne aujourd'hui à trouver les moyens de rembourser les lourds intérêts de la dette publique générée par le concept-même de cette Europe. Toutes les décisions qu'ils sont encore en mesure de prendre n'ont plus qu'une seule obsession et un seul point de mire : tout faire pour que le remboursement des financiers prêteurs puisse être effectif.

Les banquiers

Quant aux banquiers et à la finance en général, ils ont bénéficié du système et de l'aubaine européeenne crée sur pièces pour eux, mais ils ont par ailleurs également créé les conditions favorables pour ne plus avoir à remplir leur mission première; et se sont engouffrés dans une spirale ayant pour centre une nouvelle forme de capitalime, le capitalisme financier libéral anarchique et incontrôlé.

Tous ces facteurs conjugués aboutissent aujourd'hui à une situation désespérée autant qu irrationelle, et que les populations devront malgré elles continuer à supporter... peut-être...



(1) article 104 du traité de Maastricht qui a interdit aux Etats membres de continuer à fabriquer leur propre monnaie, et les a obligés à s'edetter auprès du financement privé. Les Etats n'ont donc pas été endettés, mais pillés.

Voir : La révolution est-elle en marche ?

jeudi 18 novembre 2010

Portugal Espagne : 4-0

Football : Portugal - Espagne : 4-0.

Le Portugal a battu l'Espagne par 4 buts à 0, à l'occasion du match amical qui s'est déroulé le 17 Novembre 2010 à Lisbonne.

La "nouvelle" sélection portugaise désormais dirigée par le sélectionneur Paulo Bento a le "talent en poupe". Après les deux récentes victoires contre l'Islande et le Danemark, le Portugal confirme sa forme, et de quelle manière, puisqu'il s'est donc littéralement "offert" la sélection espagnole actuellement championne d'europe et du monde.

La presse sportive mondiale parle de "correction", de "leçon de football" ou "d'humiliation".
Mais on pourra s'en tenir à une baisse de régime des espagnols, conjuguée avec le fait que l'équipe portugaise est à son top-niveau. Cette dernière a donc remporté ce match avec une maestria qui laisse augurer des lendemains qui chantent.


dimanche 4 juillet 2010

La maman du bébé de Cristiano Ronaldo

POTINS...
Voilà une information capitale pour l'avenir de l'humanité... :-)


Cristiano Ronaldo est papa.


Cristiano Ronaldo a annoncé hier sur son compte twitter (en langue anglaise), qu'il était Papa d'un petit garçon depuis le mois de juin.

Le petit garçon se trouve actuellement au Portugal, et restera sous la garde exclusive de son papa, ou plutôt de la famille de celui-ci, au Portugal.


Et on connaît la maman du bébé ...

Cristiano a fait part de sa voloté de maintenir le flou autour de l'identité de la mère du bambin.

Mais on sait désormais qu'il s'agirait d'une jeune américaine prénommée Dolores, rencontrée lors des vacances d'été de 2009 passées à Los Angeles et à Miami.

L'identité de cette dernière a été confirmée par une amie du joueur, au quotidien portugais Correio da manha.


Irina Shayk, l'actuelle
fiancée de Cristiano Ronaldo semble ne pas avoir pris la nouvelle avec enthousiasme.

Gestifute, le site de l'agent de Cristiano Ronaldo, confirme l'authenticité du communiqué de Ronaldo.


On comprend mieux pourquoi pendant le Mondial de football, Cristiano semblait "avoir la tête ailleurs" :-)


Portugalmania.com




Até já...

vendredi 2 juillet 2010

Luso Jornal, la fin d'une aventure

LusoJornal, la fin d'une aventure...


C'est avec étonnement autant qu'avec tristesse, que j'ai appris la fin de l'aventure menée avec brio par Carlos Pereira, le directeur et "l'inventeur" du LusoJornal, un journal destiné à la communauté portugaise en France. Une aventure probablement tissée d'incertitudes et de doutes, mais aussi de passion et d'espoir - et je l'affirme - de réussite.

Pour avoir fait partie de ceux qui ont "vécu" quelques prémices de l'avant-projet, ces moments où tout aventurier a probablement besoin de se rassurer quant à l'hypothétique viabilité de son projet; de faire part des ses rêves et de ses attentes; besoin d'obtenir des avis incitateurs ou contradictoires...

... Mais aussi pour des raisons personnelles qui ne sont pas très éloignées de la mésaventure qu'il vient d'endurer et du sentiment d'injustice qu'il doit ressentir, je sais probablement mieux que beaucoup d'autres, combien il doit être difficile pour Carlos Perreira de voir son projet emporté par les flots. Pur gâchis.

Le LusoJornal, pour lequel j'avais de l'estime et du respect, était plus qu'un "journal commun".

Grâce au talent de son directeur, et sans doute aussi à celui de son équipe, le Luso Jornal s'est vite affirmé comme LE support de référence au sein de la communauté portugaise en France, et pas seulement, puisqu'il était parvenu à franchir quelques frontières.

Le lusojornal était devenu un véritable support nombrilique. Non pas au sens narcissique du terme, mais dans son sens ombilical le plus noble; celui d'un "lien de sang", - sans doute inconscient, - entre des milliers de personnes possédant des racines communes, et faisant partie d'une communauté; la communauté portugaise en France.

La fin du Lusojornal n'est en aucun cas un échec. D'autant plus que cette fin ne résulte pas de la conséquence de la non viabilité de ce support réellement utile, mais d'autres facteurs extérieurs à cette aventure.

Sous une forme ou une autre, je sais que le créateur du LusoJornal rebondira. Carlos Pereira n'est pas à terre, mais juste assis, le temps de la digestion nécessaire à cette péripétie non dénuée d'injustice.

A travers ce message, je souhaite lui manifester toute ma sympathie, ainsi qu'un sincère encouragement pour une autre aventure...

mercredi 30 juin 2010

Portugal - Espagne (Mondial 2010)

Match des 1/8è de finale entre l'Espagne et le Portugal

Hier, pendant la première mi-temps de son match contre l'équipe nationale d'Espagne, la sélection portugaise a eut quatre (4) actions ayant présenté un danger réel et incontestable devant les cages espagnoles.

Lors de ces actions d'éclat, il aurait suffit qu'une d'entre elles aboutisse; que le rebond du ballon lâché par le gardien espagnol ait été propulsé 10 cm plus loin ou plus bas, pour que le destin des joueurs portugais change radicalement, et pour que toute une Nation se retrouve en délire.

10 centimètres qui vont ou qui viennent, et qui dans une immensité de temps et d'espace sont d'un degré de relativité qu'Einstein aurait probablement qualifiée d'anecdotique. Ce sont cependant bien ces petits centimètres qui hier ont fait défaut aux portugais.

A contrario, du côté adverse, lorsque Vilas, l'attaquant espagnol effectua un tir au but, et que Eduardo relâcha le ballon, cet objet de convoitise à la forme ronde a choisi de revenir tout droit dans les pieds de Vilas... qui n'eut plus qu'à le propulser au fond des filets ! Ironie du sort; étincelle nécessaire en toute occasion; magie du hasard communément qualifié de "chance"; part d'aléa qui change la donne des choses, et décide finalement du sort et de la suite d'une partie de football.

10 cm en plus ou en moins; une simple étincelle placée d'un côté ou d'un autre; et la prestation footbalistique de toute une Nation passe subitement aux yeux des spécialistes et du monde, du statut de moyenne à celle de fabuleuse. Hier, d'un coup, une simple étincelle aurait fait passer les joueurs portugais de "moyens" à "héros" !

Il s'en faut d'un rien. Et c'est ce petit rien, qui entre deux équipes de grande valeur, parvient souvent à faire la différence et à changer radicalement la physionomie d'une partie.

Hier, cette différence ressentie dans la suite du match fut nettement perceptible. Les espagnols ont semblé dominer la partie, s'accaparant le ballon afin de conserver l'avantage au score. Mais si la fameuse étincelle avait choisi de s'allumer du côté portugais lors des actions précitées, le tournure du match aurait été toute autre, et aurait inversé la perception d'ensemble.

Ceci pour dire que l'issue d'une partie de football entre des équipes de ce niveau tient à si peu de choses, qu'il est inutile de se lamenter, et encore moins de se lancer dans des analyses dont la profondeur n'est qu'hypothétique et superficielle, car uniquement fomentée par la tournure du match; elle-même dépendante de cette fameuse étincelle, qui à un moment donné choisi de briller d'un côté... ou de l'autre.

Hier il fallait un gagnant. Ce fut l'Espagne. L'étincelle fut de son côté, donnant à cette équipe un éclat mérité. Bravo. :-)


Até já...

lundi 21 juin 2010

Mondial 2010 : Le Portugal passe... le Cap !



Portugal - Corée du Nord : 7 - 0

Mondial 2010 : A l'occasion du match contre la Corée du Nord, le Portugal passe... le Cap !

Lors de ce match qui s'est déroulé ce 21 juin 2010 dans la ville du Cap (Afrique du Sud), les joueurs portugais ont-ils voulu marquer de leur empreinte ce "Cap de Bonne espérance" que les navigateurs portugais ont découvert en 1488, six siècles plus tôt,
lors de leurs nombreuses et fameuses épopées maritimes ?

Quoi qu'il en soit, en atomisant la Corée du Nord par 7 buts à 0, la sélection portugaise a non seulement réalisé un score mémorable, mais elle a également produit un match d'anthologie, que l'on pourrait qualifier de "match ketchup", et qui s'est avéré un modèle du genre...


Un match modèle digne de figurer dans les annales >>



Até ...

dimanche 6 juin 2010

Quand un jour le téléphone sonne...

Une seconde de trop...

La pratique de la moto apporte des sensations impossibles à décrire par ceux qui n'ont jamais humé le vent sur un deux roues vrombissant.

Même si je n'ai jamais "goûté" à de très gros calibres, je suis néanmoins de ceux qui ont savouré l'excitation d'une envolée - prudence incluse - ressentie sur un cheval d'acier que l'on imagine indestructible lorsque l'humain semble réellement faire corps avec l'engin, et que le vent s'entre-déchire au fil du passage de cette association de circonstance de deux masses unies ayant trouvé l'harmonie parfaite.

Au fil du temps et des rencontres, vous vous apercevez cependant des réels dangers que peut représenter la pratique de cet hobby; un danger émanant d'ailleurs le plus souvent des autres. Parfois les conséquences sont d'une violence indescriptible. Délabrements physiques à vie. Vies et familles détruites. Futurs anéantis. Vies qui s'envolent le temps d'une seconde, la seconde de trop soudainement jaillie d'une horloge en laquelle on avait pourtant une entière confiance.

"...Les détails font la perfection" disait Léonard de Vinci. Il arrive aux horloges de l'existence de se jouer de la perfection, d'oublier les détails, et de se dérégler malgré tout.

Un jour, votre enfant devenue "grande" vous annonce qu'elle même ou que son petit ami viennent de passer le permis de moto avec succès et que l'achat de l'engin à plaisir est imminent.

Venant du néant, une phrase retentit alors curieusement dans votre tête : Bonjour. Etes-vous bien le père de ... ? Je suis désolé de vous annoncer que...

Par une sorte d'intuition incontrôlée fomentée par les récits entendus au fil du temps autant que par la logique qui vous anime, cette phrase ne cesse de vous tourmenter pendant que votre "enfant" jubile visiblement à la joie de vous annoncer que la moto et elle feront bientôt corps. Que faire ? Laisser entrevoir une fausse joie, ou "casser l'entrain" en lui rappelant les dangers réels que peut représenter la pratique d'un tel hobby ?

Les jours passent, mais la sonorité de la phrase fatidique ne s'estompe pas. Elle ne fait que se tarir dans un recoin de votre cerveau. Une épée de Damoclès désireuse de se faire oublier jusqu'au jour où...

le téléphone sonne. La fameuse phrase sort alors de sa cachette et se fait entendre à l'autre bout du fil.

Malgré l'extrême violence d'un choc provoqué par un chauffard, de ses conséquences, et du degré des atroces souffrances physiques qui s'ensuivirent et que je n'ose imaginer mais que j'aimerais pouvoir partager, le drame devient relatif ne serai-ce que parce que la vie continue...


C'était hier.


A Caroline et Aurélien...

jeudi 6 mai 2010

Le Pape Benôit XVI au Portugal. Réussite avant l'heure !

Le Pape Benoît XVI se rend au Portugal du 11 au 14 mai 2010.

Sans risque, nous pouvons afficher un exploit; celui consistant à déclarer plus d'une semaine à l'avance, que la visite du Pape au Portugal s'est parfaitement déroulée !

L'opération médiatique savamment orchestrée s'est avérée une réussite incontestable, et le spectacle a connu un engouement sans précédent.

La saga d'un Pape au Portugal, une méga-production médiatique assurée avec un professionnalisme pointilleux et sans faille, par une église attentive au moindre détail et soucieuse de préserver les apparences... aura été un réel succès avant l'heure. :-)



Até já...

mercredi 5 mai 2010

La danse des malfrats financiers

La valse des malfrats de la finance se poursuit, (ou l'échec de l'europe de la médiocrité).

Les désastreuses conséquences de la machine infernale se cachant derrière cette "Europe de l'échec" se poursuivent. Les marchés s'affolent. Plus rien n'est contrôlé. L'europe ne protège pas; elle décime. Et les populations entraînées malgré elles dans la tourmente de cette aberrante eurocratie et de son absurdité, se préparent à souffrir... au profit des banquiers.

... Jusque quand ?


Rappel historique rapide (et volontairement simplifié pour une meilleure compréhension) :

- Le traité de maastrich et l'incroyable escroquerie de son article 104 (retranscrit dans l'article 123 du traité antidémocratique de lisbonne), stipule que plus aucun Etat de l'UE ne pourra faire appel à sa propre banque centrale pour contracter les prêts nécessaires à son équilibre budgétaire et à la marche du pays. Depuis maastrich, symbole eurocrate par excellence, chaque Etat concerné doit donc, année après année, emprunter l'argent nécessaire auprès des banquiers... mais avec des intérêts !

Les Etats concernés ont donc inévitablement vu accroître leur dette de façon considérable et se sont appauvris du fait des intérêts colossaux qui s'accumulent au fil des années. Les dirigeants des Etats concernés ont donc curieusement choisi d'appauvrir les populations, en versant inutilement aux banquiers des intérêts (qu'ils ne versaient pas lorsqu'ils "fabriquaient" eux-mêmes l'argent nécessaire à leur bon fonctionnement. Cette absurdité peut sembler surnaturelle tant elle est d'une ampleur dépassant l'imagination. Mais en politique, et d'autant plus s'agissant d'europe, plus la magouille est gigantesque et bizarrement mieux elle passe auprès des populations.)

Au point que dans la plupart des pays concernés (dont la France et le Portugal), les impôts sur le revenu ne servent plus au fonctionnement de la Nation, mais uniquement à payer les intérêts aux banquiers. La plus grosse partie de ce qui est qualifiée de "dette" n'est en réalité qu'artificielle, et n'est rien d'autre que la résultante de ces intérêts inutiles versés comme une rançon aux banquiers.

En d'autres termes, chaque centime que les français et les portugais (entre autres européens) paient chaque année en impôt direct, ne sert plus qu'à régler les intérêts d'une rançon aux banquiers, au lieu d'être utilisés pour la bonne marche du pays et ses besoins sociaux et économiques.

Cette véritable rançon ainsi versée chaque année au seul profit des banquiers, a donc considérablement appauvri les pays et les populations européennes, avec toutes les conséquences désastreuses visibles au quotidien. D'autant plus que même les impôts directs ne parviennent plus qu'à régler les intérêts de la "dette-rançon". La dette elle-même s'accumule d'année en année, atteignant une ampleur vertigineuse.


Les signataires du traité de maaastrich ainsi que les fautifs de la transposition de l'article 104 du traité de maastrich en l'article 123 du traité de lisbonne - passé par la force et l'irrespect total - seront-ils un jour jugés pour leur méfait ? L'histoire répondra sans doute un jour à cette question.


- Monnaie unique (Euro) : Cette monnaie est venue "cacher la misère" de la machinerie européenne, rendre artificiels la "photo des indices économiques" des Etats, et prolonger artificiellement la date de l'agonie prévisible de la plupart des Etats entrés dans l'UE. (L'Economie de l'Espagne a ainsi été maintenue dans une visibilité ne correspondant pas à sa véritable situation.)

- Par ailleurs, l'Euro a en parallèle considérablement réduit le pouvoir d'achat des populations européennes, puisque sa mise en place a été suivie de hausses des prix vertigineuses.

- Les impositions du pacte de stabilité européen forçant des Etats aux économies très différentes à se plier aux mêmes indices et aux mêmes règles, s'avère une aberration, et oblige beaucoup d'entre eux à adopter des plans dévastateurs, entraînant des hérésies sociales autant qu'économiques, préjudiciables pour le futur.

"On ne traite pas des patients différents avec le même médicament !". Et c'est là une des plus grandes incongruités de cette machination européenne dont la médiocrité n'a d'égal que le reflet de son échec permanent. Cette Europe n'affiche que précarité, aberrations, mépris de la démocratie, misère grandissante, avec l'inévitable violence qui en résulte.


- L'Empire eurocrate, en réalité dirigé par et pour quelques grands lobbies, n'apporte que des déconvenues aux populations européennes, les enfonçant année après année un peu plus dans un délabrement inacceptable.

- Printemps / été 2008 : Attaque spéculative sur le pétrole par les spéculateurs de tous bords. La machine infernale se cachant derrière la soi-disante Europe laisse faire et manifeste une fois encore son impuissance à protéger les populations. Même la tva encaissée sur les hausses vertigineuses des carburants est ainsi encaissée par les Etats, appauvrissant plus encore les populations.

- Octobre 2008 : Les agences de notation ont été (sans doute volontairement) incapables de prévoir la catastrophe financière. Leur incompétence manifeste alliée à celle des banquiers aboutissent à ce qu'ils ont "osé" appeler "la crise".

- (Pour rester en Europe) : Les dirigeants des Etats auraient pu laisser s'écrouler les banques n'ayant pas su se gérer efficacement et sainement. Dans une société dite de libre économie/entreprise, l'incompétence et la magouille doivent être sanctionnées. Ca n'a pourtant pas été le cas, et l'alliance des banquiers et des politiciens à leur botte a abouti sur des plans qui ont ainsi pallié aux incompétences des banquiers et autres malfrats de la finance.

Les Etats (en fait les populations malgré elles) ont donc décidé de "garantir" la pérénité des banques, qui n'ont pas tardé à voir repasser leurs clignotants dans le vert, affichant très vite une santé éclatante et des bénéfices record. Paradoxe logique.

Du fait de ces "aides massives" ainsi apportées aux banquiers, les Etats ont vu leurs indices se dégrader à grande vitesse. La plupart des pays de l'UE franchissent la ligne jaune , affichent des résultats catastrophiques, et voient leurs économies respectives se délabrer à grands pas.

- Les spéculateurs financiers, (parmi lesquels des banquiers sauvés du naufrage), s'acharnent alors sur les Etats qui ses sont fragilisés pour les sauver.

- Les financiers, alliés aux piètres agences de notation, voient leurs intérêts croisés et montent un véritable complot économique à l'égard des Etats qui les ont pourtant aidés. De simples notations émises par quelques vaseuses agences de notation incompétentes et sans importance, suffisent à entraîner les pays qu'ils souhaitent sous les feux de la rampe, et à les endetter davantage.

Non contents de rançonner et d'endetter les Etats européens obéissant aux critères imbéciles de l'europe et de maastrich; non contents de manipuler la machinerie économico- financière se cachant derrière cette europe de la misère; non contents de créer une des plus grandes crises économiques de l'histoire; et non contents d'avoir été sauvés par ceux qu'ils enfoncent depuis des années... ils ont décidé de placer l'estocade finale et de "se payer" les Etats et les populations.

- On en arrive donc à la situation actuelle. La zone Euro est la zone du monde connaissant la plus faible croisssance. Elle affiche en parallèle l'image d'un désastreux échec permanent. La Grèce est obligée de faire en partie appel au FMI. Les dirigeants des Etats de la machinerie technocrate européenne s'obligent à imposer à leurs populations respectives des plans draconiens, conséquence de l'hérésie de cette europe et des malfrats qui la tiennent, et tout cela pour pouvoir rembourser une dette/rançon qui n'a jamais eu lieu d'être !


5 mai 2010 : Les places boursières s'affolent :

Cela nous permet de prévoir les pays qui après la Grèce, vont devoir subir inutilement les conséquences désastreuses de cette gigantesque mascarade inacceptable, une conjoncture néfaste mélangeant les absurdités de l'UE et les facéties des spéculateurs.

Bourses du 5 mai 2010 :

Grece : -6,68%

Espagne : -5,41%

Italie : -4,70%

Portugal : -4,21%

France : -3,64%

Un nouveau Krach de cette ampleur au lendemain d’un plan de "soi-disant sauvetage" de 120 milliards à la Grèce, est plus que préoccupant.


Espérons que ces "adversaires invisibles" et leurs gigantesques arnaques induisent au moins des points positifs :

- Une prise de conscience des populations que cette UE est une totale aberration, avec des règles inacceptables, et n'ayant pour objectif que de fragiliser, appauvrir, et maintenir les populations dans la précarité et sous des peurs constantes afin de mieux pouvoir les contrôler.

- Que certains pays sortent de la zone Euro et de son gigantesque piège à appauvrir.

- Que, qui sait, l'éclatement de sa monnaie unique devienne enfin une réalité.

- Que par miracle, cet empire anti-démocratique de papier se cachant pompeusement derrière l'apellation d'UE, puisse voir se profiler au plus vite le début de sa fin. La médiocrité de cette machination eurocrate ne serait ainsi plus que le triste cauchemar d'un passé à oublier au plus vite.

C'est ce qu'on peut sincèrement souhaiter de mieux aux populations des pays qui composent cette gigantesque mascarade qualifiée "d'union européenne", et qui en subissent tous les effets hautement nocifs et les conséquences désastreuses dans leur vie quotidienne.


Até já... :-)