C'est avec étonnement autant qu'avec tristesse, que j'ai appris la fin de l'aventure menée avec brio par Carlos Pereira, le directeur et "l'inventeur" du LusoJornal, un journal destiné à la communauté portugaise en France. Une aventure probablement tissée d'incertitudes et de doutes, mais aussi de passion et d'espoir - et je l'affirme - de réussite.
Pour avoir fait partie de ceux qui ont "vécu" quelques prémices de l'avant-projet, ces moments où tout aventurier a probablement besoin de se rassurer quant à l'hypothétique viabilité de son projet; de faire part des ses rêves et de ses attentes; besoin d'obtenir des avis incitateurs ou contradictoires...
... Mais aussi pour des raisons personnelles qui ne sont pas très éloignées de la mésaventure qu'il vient d'endurer et du sentiment d'injustice qu'il doit ressentir, je sais probablement mieux que beaucoup d'autres, combien il doit être difficile pour Carlos Perreira de voir son projet emporté par les flots. Pur gâchis.
Le LusoJornal, pour lequel j'avais de l'estime et du respect, était plus qu'un "journal commun".
Grâce au talent de son directeur, et sans doute aussi à celui de son équipe, le Luso Jornal s'est vite affirmé comme LE support de référence au sein de la communauté portugaise en France, et pas seulement, puisqu'il était parvenu à franchir quelques frontières.
Le lusojornal était devenu un véritable support nombrilique. Non pas au sens narcissique du terme, mais dans son sens ombilical le plus noble; celui d'un "lien de sang", - sans doute inconscient, - entre des milliers de personnes possédant des racines communes, et faisant partie d'une communauté; la communauté portugaise en France.
La fin du Lusojornal n'est en aucun cas un échec. D'autant plus que cette fin ne résulte pas de la conséquence de la non viabilité de ce support réellement utile, mais d'autres facteurs extérieurs à cette aventure.
Sous une forme ou une autre, je sais que le créateur du LusoJornal rebondira. Carlos Pereira n'est pas à terre, mais juste assis, le temps de la digestion nécessaire à cette péripétie non dénuée d'injustice.
A travers ce message, je souhaite lui manifester toute ma sympathie, ainsi qu'un sincère encouragement pour une autre aventure...
Pour avoir fait partie de ceux qui ont "vécu" quelques prémices de l'avant-projet, ces moments où tout aventurier a probablement besoin de se rassurer quant à l'hypothétique viabilité de son projet; de faire part des ses rêves et de ses attentes; besoin d'obtenir des avis incitateurs ou contradictoires...
... Mais aussi pour des raisons personnelles qui ne sont pas très éloignées de la mésaventure qu'il vient d'endurer et du sentiment d'injustice qu'il doit ressentir, je sais probablement mieux que beaucoup d'autres, combien il doit être difficile pour Carlos Perreira de voir son projet emporté par les flots. Pur gâchis.
Le LusoJornal, pour lequel j'avais de l'estime et du respect, était plus qu'un "journal commun".
Grâce au talent de son directeur, et sans doute aussi à celui de son équipe, le Luso Jornal s'est vite affirmé comme LE support de référence au sein de la communauté portugaise en France, et pas seulement, puisqu'il était parvenu à franchir quelques frontières.
Le lusojornal était devenu un véritable support nombrilique. Non pas au sens narcissique du terme, mais dans son sens ombilical le plus noble; celui d'un "lien de sang", - sans doute inconscient, - entre des milliers de personnes possédant des racines communes, et faisant partie d'une communauté; la communauté portugaise en France.
La fin du Lusojornal n'est en aucun cas un échec. D'autant plus que cette fin ne résulte pas de la conséquence de la non viabilité de ce support réellement utile, mais d'autres facteurs extérieurs à cette aventure.
Sous une forme ou une autre, je sais que le créateur du LusoJornal rebondira. Carlos Pereira n'est pas à terre, mais juste assis, le temps de la digestion nécessaire à cette péripétie non dénuée d'injustice.
A travers ce message, je souhaite lui manifester toute ma sympathie, ainsi qu'un sincère encouragement pour une autre aventure...
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerola
RépondreSupprimerc'est bien dommage !!!
Ola Mario , gostaria de saber se posso publicar este artigo num pequeno magazine aqui em França na edicao do mes de setembro ?
RépondreSupprimertechnosols@free.fr
A Anonyme : Bien volontiers :-)
RépondreSupprimerMais sans doute que j'ai vu votre commentaire un peu tard... Et vous le savez peut-être, le Luso Jornal est de nouveau publié.