mercredi 11 mai 2011

Pourquoi l'euro est-il "la monnaie de la pauvreté" ?

Pourquoi l'euro est-il "la monnaie de la pauvreté" ?


Introduction : Personne de sérieux et de responsable ne doute plus désormais que l'euro s'avère néfaste, dangereux, et qu'il est révolu. Il faut donc choisir entre sacrifier l'euro ou continuer à sacrifier les populations. Ceux qui s'acharneront à vouloir continuer à sacrifier les populations inutilement au nom d'une pseudo-idéologie aveugle, au lieu de condamner l'euro, prendront une lourde responsabilité. Ils auront inévitablement à répondre; devant les hommes qu'ils sacrifient pour un dogme aberrant et destructeur; devant l'avenir qu'ils auront assombri, et devant l'histoire qu'ils auront rendue décadente.


L'euro est en effet la monnaie de la pauvreté. Pourquoi ?


- Parce que l'euro est en soi... la monnaie de la crise. Le sentiment actuel qui prédomine dans les marchés financiers eux-mêmes, est que l'euro est perdu ! Depuis que l'euro existe, la zone euro est une zone toujours en crise, empêchant les pays qui la composent de se ressaisir, aggravant ainsi l'ampleur des crises. L'Euro induit l'austérité, l'injustice et créé un cercle infernal.


- Parce que la zone euro, au lieu de nous protéger, nous empêche au contraire de croître et de prospérer. La zone euro est ainsi une des zones économiques ayant la croissance la plus faible sur la planète.


- Parce que L'euro est "un refuge pour faibles". Une douzaine d'économistes de la City à Londres, donc pas des enfants de coeur, ont en 2010, admis que l'euro est condamné. Andrew Lilico, chef économiste du groupe de réflexion Policy exchange, a même déclaré qu'il y a pratiquement "zéro probabilité" que la zone euro survive dans sa composition actuelle. Pour Peter Warburton, de "Economic Perspectives", dans 5 ans l'euro sera "un refuge pour les faibles, et non une forteresse pour les forts" .


- Parce que l'euro n'est que la monnaie d'une idéologie. Il a été créé pour tenter de donner un sens à une europe qui n'en a pas. Cette europe se protégeait ainsi davantage des risques d'une désintégration grâce à une icône monaitaire lui servant de bouclier. Conclusion : l'échec a été double et amplifié. Celui de cette europe et celui de sa monnaie. L'ensemble décime les populations. Beaucoup de pro-européens veulent une Europe, mais surtout pas de cette europe-ci, avec ses règles néo-libérales et sa monnaie destructrice qui symbolisent la décadence économique, sociale et même... morale.


- Parce que l'euro est condamné à l'éclatement. On ne peut plus sauver l'euro. Et tout le temps perdu à tenter "de sauver inutilement l'insauvable" n'apporte que nuisances et ne fait qu'amplifier le ralentissement voire la destruction des économies.


- Parce que l'euro tue. Il tue l'économie. Il tue les initiatives. Il tue le progrès. Au nom de d'une monnaie caduque adoptée par une europe caduque, on crucifie les populations à l'autel des sacrifices. La Grèce, l'Irlande, le Portugal, de nouveau la Grèce, mais aussi tous les autres pays ayant adopté cette monnaie, voient leurs populations s'enliser dans la régression sociale, les économies se délabrer, la qualité de vie sé détériorer, le chômage croître; les patrimoines nationaux mis en vente, le pouvoir d'achat regresser etc... au nom d'une monnaie qui détruit tout sur son passage. L'euro tue même des êtres humains, du fait de la pauvreté qui gagne les pays concernés à pas de géant depuis que cette europe les a happés, et pire encore depuis que l'euro leur a été imposé.


- Parce que l'euro contribue fortement à la baisse du pouvoir d'achat des citoyens européens. Certes, même s'ils deviennent une denrée de plus en plus rare, il existe encore quelques esprits égarés ou aveuglés par les mirages de cette europe. Certains vont même parfois jusqu'à se montrer hautains, pédants ou haïneux envers leurs contradicteurs. Mais ils ont beau s'égosiller à tenter d'affirmer que l'euro n'est en rien dans l'augmentation des prix et que ce sont les habitudes de consommation qui ont changé. Les citoyens n'ayant pas subi un lavage de cerveau ne sont pas dupes. Ils ont constaté des augmentations sur des produits courants astronomiques, impensables. L'Euro a appauvri et il continue à appauvrir les populations qui l'ont adopté.


Des exemples simples de la vie de tous les jours : tels un café au comptoir, qui coûtait en moyenne autour de 1,50F, et qui en une dizaine d'années devrait avoir augmenté de moins de 30%, donc coûter autour de 2 Francs, coûte aujourd'hui en moyenne 1 Euro, c'est à dire 6,50 Francs. Donc 300 % d'augmentation au lieu de 30%. Un % d'augmentation 10 fois supérieur à la normale du fait de l'euro. Gigantesque ! Et ce n'est rien face à l'augmentation de multiples produits de consommation courante, qui pour certains ont dépassé les 800% d'augmentation. La baguette est un autre exemple. L'Euro appauvrit bel et bien les populations.


- Parce que les pays européens qui n'ont pas adopté l'euro s'en sortent beaucoup mieux. Le Danemark, par exemple n'est pas tombé dans le piège de l'euro. Et heureusement car il s'en porte à merveille. Pendant que les Etats ayant adopté l'euro sombrent dans les restrictions, le chômage et les souffrances, les Danois dansent avec éclat... hors de l'euro.


- Parce que l'euro est la monnaie de la médiocrité et de la désunion. Cet aspect est certes symbolique, mais révélateur. Peu de gens éprouvent aujourd'hui de la fierté d'avoir pour monnaie l'euro. Le symbole que véhicule l'euro est d'ailleurs très impersonnel. Mais au-delà de cette évidence, il y a surtout le fait que les populations associent obligatoirement l'euro à une monnaie de discorde (les populations sont divisées quant à son maintien), et à une monnaie qui a apporté de graves contraintes et tumultes. A une monnaie qui a apporté une dose de médiocrité à leur vie.


- Parce que l'euro (et les règles absurdes de cette europe), empêchent les Etats de procéder à des ajustements. Ils se retrouvent donc enfermés dans un piège, où ils sont dépendants du bon vouloir des marchés financiers. Les pays concernés deviennent par conséquent les otages de la finance. Le Portugal l'a ainsi vu récemment en se faisant piéger par les agences de ranking et en étant pieds et poings liés aux absurdités de cette europe et de sa monnaie. Aucune marge de manoeuvre. On fait souffrir les populations inutilement, au nom de la monnaie de la souffrance, et pour que les pères de l'euro ou encore quelques quelques technocrates n'ayant été élus par aucun citoyen, ne soient pas désavoués.


- Parce que l'euro (comme cette europe), n'a pas été conçu pour les populations. Il n'a été conçu que pour les financiers. On a certes manipulé les populations en les attirant avec un avantage pratique présenté par l'euro : ne plus devoir changer de la monnaie en se rendant dans les pays qui l'adoptent. Et grâce à ce subterfuge enjoliveur (que les citoyens utilisent combien de fois par an?), on a ainsi appâté les populations pour pouvoir passer l'euro en force. Pendant que cet euro fait des ravages, la finance jubile.


- Parce que l'euro a entraîné une spéculation effrénée et incontrôlée dont les populations supportent les multiples conséquences néfastes. Le capitalisme classique s'est volatilisé devant le capitalisme financier. La notion de production a fait place à celle de la spéculation sans limites ni contrôle. De multiples valeurs se sont estompées, donnant de moins en moins de sens au travail et au mérite.


- Parce que l'euro est incohérent et absurde. Les populations haïssent de plus en plus cette europe et sa monnaie, et pour cause. Il est inconcevable que des nations ayant des économies si différentes; des taux de croissance et d'inflation si dissemblables, se voient obligées d'appliquer les mêmes règles; se basent sur la même monnaie, et se voient imposer les mêmes niveaux de contraintes. On soigne rarement les malades ayant des profils différents avec un seul et même médicament. Parmi eux, des pays succombent en essayant vainement d'appliquer des théories autant généralistes qu'absurdes et destructrices. Le pacte de stabilité européen est une d'entre elles, probablement une des plus incohérentes et néfastes.


- Rigueur et pauvreté. Parce que la banque centrale européenne dont l'euro est le fleuron, applique des politiques de rigueur et de pauvreté. Pire, ces politiques à oeillères s'avèrent être l'échec que l'on constate partout au quotidien. La politique persistante de l'euro fort, freine les exportations et le commerce extérieur européen, fragilisant plus encore les économies, et augmentant le chômage. J-C. Trichet, seul à bord et sans contrôle, a par ailleurs encore déclaré en février 2011 "qu'augmenter les salaires serait la dernière bêtise à faire" en Europe. Tirer vers le bas, telle est la devise de la BCE et de son euro.


- Parce que cet Euro est la monnaie, non pas de l'europe, mais de l'Allemagne. L'Euro a été calqué sur la monnaie allemande. Cette europe est d'ailleurs elle-même maintenue rampante et basée sur l'Allemagne, ses indicateurs économiques, et le pouvoir (reconnu) de son lobbyisme, qui s'est étendu à cette europe (on estime entre 15 et 18 mille, les lobbies à Bruxelles)


- Parce que l'euro est une véritable machine à appauvrir. Avec l'article 104 du traité de Maastricht, les pays entrés dans cette europe se sont vus interdire de faire appel au financement interne, et ont été obligés d'avoir recours à la finance européenne débridée. Il s'est alors créé des produits financiers perfides rendant totalement incontrôlable le détermination de l'origine des prêteurs. N'importe quel citoyen a pu se retrouver lui-même prêteur.


En permettant de diluer ainsi le système, cette europe et ses règles absurdes ont entraîné la décadence des pays et des populations. Les pays concernés ont ainsi été endettés inutilement à des niveaux inimaginables. Depuis, on leur répète sans cesse "qu'ils sont endettés et que les caisses sont vides" ! Alors qu'ils ont en fait été victimes d'une sorte de pillage organisé depuis 1992, date de l'effet de l'article 104 de Maastricht, que les technocrates et les politiciens ses sont empressés de retranscrire dans l'article 123 du traité de lisbonne. Cet euro et ces règles européeennes ont ainsi semé une misère rarement vue jusqu'à présent.


- Parce que l'euro est en faillite. Cette europe autant que sa monnaie, ont vite montré leurs limites. L'euro est le symbole de tout un système en déconfiture et en faillite, qui ne tient que grâce à de gigantesques efforts de communication.


- Parce que l'euro est l'ennemi de la démocratie. Les conséquences désastreuses de l'euro ont des effets dévastateurs. Cela éloigne évidemment de plus en plus les citoyens de cette europe, et à juste titre. Mais cela les éloigne aussi de la politique en laquelle ils n'ont plus confiance. Pire, cela favorise un certain rapprochement vers des partis extrêmistes. Tout ceci découle d'une sorte de résignation mêlée à du désespoir, qui ne s'est pas encore transformé en révolte.


L'euro est un ennemi de la politique et peut compromettre la notion-même de démocratie, avec ses conséquences néfastes. Cette monnaie et l'europe à laquelle elle s'accroche deviennent une arme de destruction massive. Plus d'un grec sur quatre vit désormais sous le seuil de pauvreté. Partout dans cette europe et plus encore dans la zone euro, considérée comme la nouvelle zone de la pauvreté, Les populations des pays enfoncés dans l'euro se sont depuis longtemps blottis dans la morosité, la crainte permanente du lendemain, sinon le désespoir. L'avenir n'a pas plus de sens que le présent. Tout autour d'eux vole en éclats.


Jusqu'où les populations tiendront-elles sans se révolter et sans être entraînées dans des explosions sociales sans précédent ? Jusqu'où cette europe veut-elle traîner les populations qu'elle a piégées ?


- Parce que l'euro est l'arnaque du siècle


- Parce que personne ne veut de l'euro. Comme pour le traité de Lisbonne; les populations n'ont pas été consultées pour la mise en place de l'euro. Et celles qu'on a daigné consulter sur la question, n'en veulent pas ! Malgré des manipulations tout azimut, les opinions publiques européennes se rendent de plus en plus compte que l'euro est une hérésie. Rester dans l'euro va devenir intenable. La gronde s'amplifie et s'étale.


- Parce que l'euro n'existe pas ! En effet, l'euro était sensé être une monnaie unique. Or aucun Etat de la zone Euro n'achète des Euros au même prix. Ainsi les grecs paient 4 fois plus d'intérêts que les allemands pour obtenir ... le même Euro ! Une monnaie qui n'a la même valeur pour AUCUN des Etats qui l'a adoptée, est tout sauf une monnaie unique. Cette illusion d'optique à laquelle on a donné le nom d'euro, et que certains s'acharnent à maintenir en vie artificielle, n'est pas qu'une hérésie; c'est une hérésie destructrice qui sème pauvreté, décadence et souffrances. Une monnaie bête et méchante bâtie sur du vide et sur des illusions n'a en soi aucun avenir.


- Parce que l'euro nous fragilise. Même des "spécialistes de la question", et non des moindres, tels Paul Grauwe, ancien conseiller de barroso, donc loin d'être un anti-euro à la base, le disent : l'euro nous fragilise.


- Parce que l'euro est insidieux et perfide. En créant l'euro, "on" avait si peu confiance en lui qu'on lui a permis de nous emprisonner. L'euro et le système perfide qui a piégé les populations, a enfermé les pays concernés dans un sombre trou sans sortie apparente. Désormais, si un seul pays veut se libérer seul, il se retrouve confronté à des aspects négatifs... induits par l'euro lui-même. L'euro aura été perfide jusqu'à après la sortie de la souricière.


LA SOLUTION : Si par contre plusieurs pays sortent ensemble de ce gigantesque traquenard, l'euro devrait à priori se désintégrer de lui-même. Et c'est plus facile qu'on ne le pense. C'est la solution pour que les Etats se tirent de ce piège, et que les populations se libèrent de la pression insupportable de l'euro et de cette europe qui s'accroche à lui. On pourrait sans doute alors adopter l'euro en tant que monnaie commune de référence entre Etats européens, et non plus en tant que monnaie unique de pays d'une pseudo-union.


Il n'y a aucune raison objective et réelle, à part des raisons aveugles et de pur principe, pour ne pas sortir d'une monnaie qui apporte infiniment plus d'inconvénients que d'avantages. L'euro (autant que cette europe) était sensé nous protéger et nous amener la prospérité : il nous apporte en fait appauvrissement et misère, et par conséquence peurs et violence.


L'euro tel qu'il est aujourd'hui, c'est à dire en tant que monnaie unique, est bel et bien la monnaie de la pauvreté. L'explosion de l'euro est plus qu'une nécessité; c'est un impératif permettant de freiner le massacre qu'il entraîne. C'est une urgence absolue pour les populations.



lundi 9 mai 2011

Portugal; la vidéo obscène

Portugal : la vidéo obscène

Introduction
Le Portugal a été contraint de souscrire un prêt d'environ 78 Milliards d'Euros, une gigantesque arnaque que les politiciens et les médias aux ordres de cette europe se sont empressés de qualifier "d'aide". Le Portugal va donc être appauvri de 78 Milliards supplémentaires. (Depuis son entrée dans cette europe le Portugal s'est appauvri d'environ 100 Milliards d'Euros, correspondant au montant qui lui a été volé depuis 1992).

Une partie de la population finlandaise se montre cependant réticente quant à cette "aide". Et des représentants du gouvernement Britannique se montrent eux aussi très froids sur ce plan.

Au Portugal, les portugais largement manipulés par les rouages de cette europe depuis des décennies, n'ont donc pas vraiment conscience de la calamiteuse escroquerie qu'on leur fait subir. On clame alors "à tout va" que les portugais vont être "aidés"; que c'est une nécessité; et que cette europe va accroître leurs souffrances... pour leur bien. Forcément.

Initiatives...

Au milieu de ce désespérant spectacle donné par des fantoches à des spectateurs désinformés et manipulés, mais voulant en fait surtout s'adresser aux simples d'esprit, on trouve des initiatives dont le degré de tristesse est proportionnel à la gravité de l'intention. Parmi elles on trouve une vidéo sur le Portugal réalisée afin de "sonner les cloches aux Finlandais", les critiquant pour oser se montrer "contre le prêt" qui va être consenti au Portugal. En "soi-disant" montrant aux finlandais les aspects "valorisants" du Portugal, cette vidéo s'avère en fait n'être qu'une manœuvre pernicieuse dont le côté pervers ne prend même pas la peine de faire du second degré. C'est du brut de coffrage.

La vidéo sur le Portugal pathétique de désolation




Fédérateur, n'est-ce pas ? On en frissonne.

Les plus forts

Cette vidéo pourrait avoir été conçue par un gosse en mal de reconnaissance. Il n'en est rien. Elle a été conçue, entre autres, par des politiciens portugais.

L'arnaque cachée derrière l'idée de cette vidéo sensée montrer les prétendues valeurs du Portugal, n'est pas dans le fait de réveiller les sentiments patriotiques basiques des portugais. N'importe quel pays du monde peut faire une vidéo de 3 heures montrant qu'il est "le meilleur" dans n'importe quoi. Chaque pays a la plus grande rue sans trottoirs d'europe; la personne la plus âgée, la plus grande plante verte dans un pot bleu, le meilleur fromage à trous carrés, la plage aux fleurs jaunes à pois verts la plus grande, le plus beau magasin de chaussettes bleues du monde, ou le premier roi qui a mangé du boudin. Tout pays a également été le premier dans quelque chose, fus-ce à inventer l'eau de vaisselle.

Mais il est pathétique d'avoir à ainsi brader l'image d'un pays qui possède une histoire aussi riche et de réelles, multiples et tangibles qualités, dans des termes aussi désolants et à travers une initiative désolante de tristesse. On se croirait dans un stade de football entre partisans s'affrontant de façon primaire dans des combats de coqs stériles pour défendre une pseudo-cause affligeante de platitude. Décidément, cette europe est l'europe de la guerre entre les peuples !

Et justement. Cette initiative est également navrante par le fait de montrer comment cette désunion européenne ravive les tensions entre les populations. L'ombre du "plombier polonais" plane. Outre le racisme ou la xénophobie que les règles de cette europe et ses conséquences désastreuses réveillent, la "guerre froide" entre populations est elle aussi bel et bien alimentée, et montre à quel point les ficelles de cette "chose qu'on qualifie d'europe", ne parviennent à maintenir en vie artificielle une entité, que par des noeuds futiles, prêts à se défaire au moindre coup de vent.

Incroyable degré de manipulation

La manipulation de cette vidéo sur le Portugal réside dans l'objectif machiavélique consistant à essayer d'unir des portugais manipulés et escroqués consécutivement à l'aburdité des règles de cette europe, autour de la plus gigantesque arnaque du siècle ! Elle consiste à tenter de retourner les portugais contre les finlandais, un peuple qui veut empêcher les portugais... de se faire escroquer ! Cela donne ainsi un sens à une pseudo-union qui n'a pas lieu d'être. Les portugais que cette europe manipule depuis sa création, se retrouvent ainsi les tristes et misérables pseudo-acteurs enfermés dans un manège et un piège destinés à les détruire.


Réfléchissons un instant. A quoi ce prêt que l'on veut consentir au Portugal va-t-il servir ?

- A construire des milliers d'hôpitaux ? Non, au contraire. Les loups qui vont obliger les portugais à accepter et rembourser chèrement ce prêt imposent au contraire des conditions draconiennes aux portugais sur le plan de la santé.

- A construire des milliers d'écoles et à recruter des milliers d'enseignants dont le Portugal a besoin ? Non, au contraire, les loups imposent des coupes drastiques dans l'éducation !

- A faire bénéficier les portugais d'un meilleur niveau de vie ? Non, bien au contraire. Les loups imposent aux portugais des restrictions et des mesures d'une ampleur sans précédent, qu'ils n'ont jamais connu jusqu'ici, et qui vont les entraîner vers la souffrance et la récession économique.

Alors à quoi va servir ce prêt consenti au Portugal ?

A uniquement être certains que le Portugal paiera les intérêts de l'argent qu'on lui a volé depuis 1992 avec la complicité des règles de cette europe. (Article 104 du traité de Maastricht, qui a autorisé la finance européeenne à dépouiller les populations). Autrement dit, ce prêt va uniquement servir à payer les financiers ! Ces Milliards ne sont destinés qu'à aller dans la poche de la finance. Il s'agit d'une totale escroquerie perpétrée par cette europe de l'arnaque et de la misère.

Cette vidéo sur le Portugal, et surtout l'idée insidieuse qu'il y a derrière cette initiative, est si grotesque qu'elle ne voit même pas son côté pathétique. Car allant au bout de sa logique absurde, Il serait pour le moins étonnant qu'un pays décrit comme étant si merveilleux, si fantastique et si fort, en soit réduit à mendier de "l'aide".

La réalité est évidemment toute autre.

D'une part parce qu'il ne s'agit pas d'une aide mais d'un prêt, qui sera remboursé par tous les portugais pendant la décennie qui vient, et à coups d'immenses sacrifices. La manipulation médiatique des escrocs est gigantesque car ils arrivent à faire croire aux populations que le Portugal est "aidé". Pire... Dans les médias à la botte de cette eurocratie on peut même aller jusqu'à lire le terme "sauvé" ! Le Portugal serait donc sauvé car on lui prête de l'argent pour qu'il puisse payer des intérêts sur de l'argent qu'on lui a volé ! On atteint là une dimension d'escroquerie intellectuelle et réelle, inimaginables.

D'autre part parce que le Portugal ne mendie pas ce prêt; il a été obligé, contraint et forcé d'avoir recours à ce prêt. En effet la pression insidieuse des technocrates et des politiciens défendant cette absurdité européeenne, alliée à la coalition complice entre finance et agences de rating, ont poussé le Portugal à accepter de force ce prêt !

Et surtout, les rapaces l'ont en effet contraint à souscrire à ce prêt pour être sûrs que la mafia de la finance percevra bien le montant du pillage organisé du Portugal qui a été rendu possible grâce aux règles scélérates de cette europe.

Cette vidéo ur le Portugal est un succès sur le plan du marketing. Car elle arrive évidemment à piéger les portugais les plus faibles d'esprit autour d'une pseudo-cause destinée à les détruire. Et en parallèle, elle renforce pour ceux-là l'idée que le Portugal va effectivement être "aidé" et que cette europe doit être solidaire.

Cette europe et ses rouages diaboliques montrent depuis sa création qu'elle est une machine à nuire. Elle ne demeure en vie que grâce à sa puissance de manipulation chèrement payée par les européens. Vivement le réveil et la désintégration de cette imposture. C'est ce qu'on peut souhaiter de tout coeur aux populations piégées.

NB. Cet article est écrit par "respect et amour" pour le Portugal, et dans le but de dénoncer la colossale arnaque dont il fait l'objet. Il a aussi pour but de sensibiliser les lecteurs sur l'appauvrissement que cette europe a fait subir au Portugal et aux portugais (entre autres) depuis qu'elle les a enfermés dans son piège diabolique.



Fête de l'arnaque européenne

la tristesse de l'anniversaire d'une europe misérable

Au milieu des populations arnaquées en conséquence des hérésies et du machiavélisme de cette pseudo-europe actuelle, des cocoricos désespérés et désespérants de ceux qui osent encore aller jusqu'à "fêter" l'anniversaire de cette imposture pompeusement qualifiée "d'europe" tonnent en ce 9 Mai 2011.

Cette absurdité eurocrate dont les piétrès règles ont appauvri et détruit les populations qui la composent est donc encore fêtée par certains ! On nage dans le surnaturel.

Triste réalité, qui montre cependant à quel point le degré d'intoxication mentale est énorme. Des centaines de jounaleux seraient ainsi subventionnés pour donner et maintenir une image positive de cette escroquerie auprès des populations. Certains d'entre eux vivraient même de ce "sport" consistant à faire reluire en permanence l'image désastreuse de cette pseudo-europe, pourtant pathétique à mourir. Ceci explique sans doute cela.

Vivement que le triste cauchemard de la pseudo-europe actuelle cesse; qu'on en finisse avec cette imposture, pour qu'on puisse enfin un jour créer une Europe, l'Europe, qui sera tout sauf la lamentable machine à détruire technocrate, construite de toutes pièces pour la finance, et qui est actuellement imposée aux populations.






jeudi 21 avril 2011

Faites le test sur l'europe, le test européen

Faites le test sur l'europe - le test européen

Ce test sur l'europe est très facile, et il s'agit d'un test aussi rapide qu'amusant. Vous allez rire. Il s'agit du premier test européen d'une série de tests drôles et plaisants à réaliser.


Explication de ce test sur l'europe
N'avez-vous jamais entendu un technocrate européen quelconque, au cerveau et aux propos aussi creux que l'europe qui le fait (très grassement) vivre, prononcer "la phrase qui tue", une de celles dont cette europe a le secret, et qui consiste à vous infantiliser et à vous prendre pour un vulgaire abruti ?


Alors, faites le test européen. Un test sur l'europe qui vous permettra enfin de vous apercevoir de la manipulation à laquelle s'adonne cette entité qui décime les Etats et appauvrit les populations qui la composent. Vous allez en tirer un énorme bénéfice, en plus d'en rire aux éclats. Succès assuré.


Les bases du test sur cette europe
Des technocrates européens s'acharnent à employer une méthode basique et rudimentaire, un procédé marketing pour demeurés, qui consiste à clamer une phrase sensée défendre cette indéfendable machination européeenne qui a entraîné les populations prises au piège dans l'abîme.

A chaque fois qu'une écrasante majorité de citoyens montre son énorme désintérêt ou sa répulsion pour cette europe créé de toutes pièces pour qu'une oligarchie financière détruise en toute impuinité des populations entières, ces pions de l'eurocratie s'égosillent alors à clamer haut et fort, dans tous les médias détenus en quasi-totalité par quelques oligarchies : attention accrochez-vous bien à votre siège ...


"Que si les citoyens rejettent cette europe et pensent que cette europe est une médiocrité, c'est... parce qu'il n'y a pas assez d'europe !"


Grandiose, n'est-ce pas ? Après avoir etendu ça, on se dit que la vie mérite d'être vécue. Si vous avez du mal à croire que des propos aussi risibles et pitoyables aient pû être prononcés, ou qu'un niveau aussi impensable de manipulation n'a jamais pu être mis en oeuvre publiquement, alors n'hésitez pas à réaliser le test qui va suivre.


Préparation au test sur l'europe
- Imaginez que vous trouviez un sportif complètement nul, et qu'il démontre en permanence son incontestable nullité. Imaginez alors qu'il vous rétorque que vous le trouvez nul... parce qu'il n'est pas encore assez nul ! :-)


- Quand des millions de personnes étaient prises au piège dans le bloc communiste passéiste et se plaignaient de ses aberrations, il est évident que c'était ... parce qu'il n'y avait pas assez de communisme ! :-)


- Prenons un autre cas de quelqu'un, (qui, même sans vous prendre pompeusement pour Einstein), vous considérez néanmoins comme un vulgaire abruti. Imaginez qu'il vous dise que vous le considérez comme un abruti... parce qu'il n'est pas encore assez abruti. Il faudrait qu'il le soit encore davantage !


Autrement dit : Si les citoyens européens empêchés par la force et par des procédés abjects, diaboliques et anti-démocratiques, de s'exprimer sur cette europe et ses immenses dérives, trouvent que cette europe fait de considérables dégâts et dévaste des populations entières... c'est parce qu'il n'y a pas assez de destruction, et qu'ils voudraient que les ravages qu'ils subissent soient encore plus importants ! (On se demande d'ailleurs comment une entité pourrait détruire davantage des pays et des populations, plus irrémédiablement encore que ne le fait l'actuelle machine à détruire européenne).


Enorme ? On devrait plutôt dire Gigantesque !


Cela confirme le vide existant dans cette coquille creuse eurocrate. Au-delà de son aspect dédaigneux et perfide, ce procédé montre le niveau affiché par cette escroquerie européeenne. On s'aperçoit comment cette europe est une machine à infantiliser. Et qu'elle fait tout pour prendre des citoyens faibles ou simples d'esprit dans ses filets, pour qu'ils soient bernés et piégés par d'aussi inimaginables manipulations primaires, pour ne pas dire primates.


Pour la réalisation du test, observer également les perroquets
Encore plus fort. Lorsque des pions technocrates mis à des postes-clé, s'acharnent à hurler partout ces incroyables crétineries, on s'aperçoit de l'impact de cette manipulation. Car on entend alors également... quelques perroquets répéter eux aussi exactement la même hérésie.


Si vous en doutez, prêtez bien l'oreille dorévanavant. C'est à s'égosiller de rire ? Certes. Mais finelement pas tant que cela. Car ce procédé de manipulation basique n'est pas gratuit. Derrière cette énormité désespérante de charlatanisme, il y a une réelle volonté de nuisance.


Il faut être lucide et conscient. Si ceux qui tirent en réalité les ficelles de cette escroquerie européenne ont placé des pions insipides sur l'échiquier de cette imposture afin qu'ils utilisent des manipulations aussi primaires envers les populations, c'est parce que l'enjeu est énorme... pour eux.


Ils veulent éviter à tout prix que leur empire de papier s'écroule. Et vu l'ampleur des énormes ravages que cette europe entraîne pour les populations et les Etats piégés, il faut impérativement que les citoyens demeurent aveuglés, et soient maintenus et entretenus enfermés dans un processus débilitant pour éviter qu'ils balaient une fois pour toutes cette infâme supercherie européenne. En effet si les citoyens s'offraient 5 minutes de lucidité et prenaient conscience de tout ce que cette europe leur fait subir, et de son impact négatif et désastreux sur leur quotidien, cette lamentable supercherie serait balayée définitivement à la vitesse du vent.


Commencer le test européen
C'est très simple. Ce premier test consiste à être attentif. Il suffit d'écouter ou de lire attentivement les médias. Il faut être à l'écoute de la "phrase qui tue". Il suffit d'être à l'affût des propos qui font partie de ce jeu de manipulation grotesque entrepris par cette europe.


A chaque fois qu'une énormité de ce genre est perçue, il faut essayer de la déceler immédiatement. Un propos vous semble gros, énorme, primaire, absurde ou surtout débile ? C'est que vous êtes sur la voie. Vous êtes en train de détecter une de ces manipulations primaires, risibles d'imbécilité. Vous êtes tout près de réussir le test.


Bénéfices du test européen
En parvenant à réussir ce test, on en tirera de grands bénéfices :


- Lucidité. On se rendra compte de la désolation qui entoure cette machination européeenne. Et on s'apercevra de l'effort colossal que fournissent ses gourous ou leurs adeptes piégés dans cette toile dévastatrice pour essayer de maintenir cette bête à anéantir en vie artificielle.


- On éprouvera en parallèle un grand sentiment de désolation ou de pitié pour cette grave maladie européenne que la plupart considère désormais en phase finale.


- Mais en parallèle, on s'assurera aussi de très grands moment de franche rigolade. Le rire est assuré ! :-)

Autre effet positif : On aura sous les yeux une des multiples raisons pour lesquelles les populations encore lucides ne veulent surtout pas être assimilées à cette europe-là, à un exemple aussi évident de fourberie et de médiocrité. Et on comprendra aussi pourquoi l'écrasante majorité des européens sont pressés d'en finir au plus vite avec cette stupide et détestable hérésie nocive, afin que l'on puisse enfin passer à autre chose, et construire vite une vraie europe, édifiée pour les citoyens qui la composent.

En attendant, bon test européen. Vous allez vous offrir de très bon moments de rigolade ! :-)






mercredi 20 avril 2011

les citoyens ne veulent plus de la magouille européenne

les citoyens ne veulent plus de la magouille européenne.

Les populations deviennent de plus en plus conscientes du mécanisme perfide tournant autour de cette europe et généré par elle. Ils voient la désolation que cet empire technocrate sème sur son passage. Le Portugal en fait les frais depuis son entrée dans ce gigantesque piège qui l'a considérablement appauvri.

A ce sujet, les populations européennes ont pris conscience que cette europe a livré les Etats aux banquiers et pire encore, à un clan financier incontrôlé qui sème la terreur. Comme depuis 1992 cette europe a obligé les Etats à se financer auprès du clan de la finance, ces derniers sèment la désolation en se livrant à un véritable pillage des pays européens, se servant de complices diaboliques : les agences de notation.

Ensemble, cette mafia organisée s'est conçu une opacité lui permettant d'être incontrôlable. Elle applique donc les taux qu'elle veut aux Etats, entraînant les économies dans la crise et le marasme, et les populations vers un abîme par le biais d'un racket généralisé. On vient de le voir avec successivement la Grèce, l'Irlande, le Portugal. Et d'autres vont probablement suivre. Que ce soit de façon déclarée ou pas, toutes les populations concernées souffrent au quotidien des conséquences de la grave maladie européenne.

Agences de notation : le cancer.

Les populations sont enfin conscientes de la corruption existante généralisée, impliquant finance et agences de notation. Ces exécrables entités s'essuient les pieds sur les populations, alors qu'elle se sont avérées d'une incroyable incompétence en n'ayant jamais prévu la crise (même pas celle qu'elles ont générée).




Elles sont allées jusqu'à donner la note AAA à des créances immobilières américaines insolvables vendues ensuite dans le monde en entier .... sous l'appellation de "produits financiers complexes ou dérivés" . Elles ont créé ce que la bande organisée a appelé "la crise", celle dont ils nous font subir les conséquences. Ces agences de notation sont un cancer généralisé.

Fin programmée de cette europe

Tout ceci découle de l'absurdité inconcevable et pathétique des règles européennes, les réelles fautives de ce pillages des populations. Les citoyens ne peuvent et ne veulent plus de cet amalgame de médiocrité et de corruption qui les mine. Partout, même dans les médias tenus par une oligarchie qui défend à tout prix cette europe, ils crient autant que possible que : Cette europe, Basta !

La fin de cette machine à détruire européenne devient effectivement désormais évidente pour tous. Même les loups aux abois commencent à en être conscients. Il ne reste plus qu'à savoir quand CETTE europe, cet empire de papier maintenu à tout prix en vie artificielle, va s'écrouler.


Plus vite on en finira avec cette lamentable hérésie européenne actuelle, plus vite on pourra envisager de mettre enfin sur pied une vraie europe, celle que l'immense majorité des citoyens souhaitent, c'est à dire, la leur !



mardi 19 avril 2011

la banque centrale européeenne, aberration ou arnaque ?

La banque centrale auropéeenne : Aberration ou arnaque ?

En fait les deux.
Cette banque, qui avec les règles européennes sur lesquelles elle s'appuie, a contribué et contribue de plus en plus à détruire l'économie du Portugal, est une absurdité dévastatrice.


Imaginons que l'on mette exactement le même bolide F1 entre les mains d'un champion de Formule1, entre celles d'un conducteur standard, et entre les mains d'un enfant. Alors qu'ils ont des besoins et un niveau en totale contradiction et déphasage, on les oblige à piloter tous le même bolide, on leur impose de faire le même temps, et on les jette dans la même course sans tenir compte des spécificités et de la réalité de chacun d'eux.

Cela n'apportera strictement rien à personne. Peut-être que cela apportera tout au plus une fausse satisfaction au pilote de F1. Mais pour l'ensemble des concurrents jétés dans une course folle de ce type, ça ne peut avoir que des effets dévastateurs.

L'enfant va inévitablement droit dans le mur. Le conducteur standard essaye tant bien que mal de préserver sa vie et arrive en retard. Et le pilote chevronné quant à lui, y trouvera tout au plus un vulgaire sentiment d'auto-satisfaction en confirmant que sur le plan du pilotage d'une F1, il est meilleur que les autres. En somme rien que du vide pour l'ensemble des concurrents.

C'est pourtant ce qu'on a fait en créant cette europe, ses règles identiques pour tous (critères de Maastricht), et sa banque centrale.

Non pas que le pilote professionnel de F1 soit humainement supérieur aux deux autres. Il peut même s'agir d'un vulgaire abruti sur de nombreux autres plans. Mais Il est simplement à l'aise dans ce sport. Non pas que l'enfant n'ait pas la capacité un jour de conduire le bolide. Non pas que le conducteur standard soit un mauvais conducteur. Mais il s'agit simplement d'une incohérence gigantesque consistant à imposer exactement le même outil et au même moment à des cas qui ne se trouvent pas dans la même configuration ni avec les mêmes besoins au même moment.

Cette notion d'une logique implaccable et incontestable est élémentaire pour n'importe qui, sauf pour cette europe. C'est pourtant sur des bases aussi incroyables de stupidité qu'est assise cette imposture europénne et sa banque centrale, appelée "banque centrale européenne (BCE)"

On s'en doute, ceci a pour effet de littéralement détruire les économies de certains des Etats piégés dans cette europe, et de jeter les populations dans une souffrance que l'on ne peut que constater. Et les mêmes qui ont inventé cette aberration, osent venir ensuite parler "d'aide" lorsque le conducteur standard arrive en retard, ou lorsque l'enfant va droit dans le mur !

Ne rions pas, car c'est axctement ce qu'ose faire cette europe et ses execrables tireurs de ficelle, en venant clamer à tue-tête les mots "aide", sauvetage" etc... à l'encontre de pays qu'elle a détruits !

Même avec une immense imagination, aucun scénariste n'aurait imaginé un scénario aussi stupide et aussi incohérent que cette europe et ses règles destructrices.


Banque centrale européeenne


- On a donc imposé aux pays européens une banque centrale. Son rôle était en théorie de réguler les taux d'intérêt, afin d'essayer de maintenir l'inflation à un taux bas. Il se trouve qu'en réalité cette banque centrale a failli à sa mission car dès l'entrée de l'Euro les prix ont flambé comme jamais. On a simplement camouflé l'énorme inflation générée par l'Euro derrières des indices maquillés et arrangés, afin d'obliger les populations à accepter une monnaie qui allait les appauvrir.


De plus, cette banque centrale européeenne fait surtout office de fontaine, car elle prête aussi aux banques de l'argent à au taux faible, pour que ces dernières "reprêtent" le même argent aux Etats, mais à un taux fort. (Mars 2011 : les banques empruntaient à la BCE à 1% pour le reprétêr jusqu'à 10% à certains Etats !)


Rapelons que cette banque centrale européeenne ne peut être contrôlée par aucun Etat, encore moins par aucun citoyen; qu'elle est dirigée par un fonctionnaire ayant tous les pouvoirs, et qu'elle a les mains entièrement libres.

- On a imposé à ces pays d'être régulés exactement de la même façon, alors que leurs besoins sont complètement antagonistes. Ainsi, cette fameuse Banque centrale créée de toutes pièces par cette europe et dont personne n'a le moindre contrôle, joue avec les taux à sa guise, en se basant sur l'économie du pays en meilleure santé économique, (actuellement l'Allemagne), alors que les autres Etats en subissent toutes les conséquences !

La conclusion peut être vue par tout le monde : L'appauvrissement des Etats et des populations. Des pseudos-dettes qui s'accumulent. Des économies en complet déphasage.


Le pire de cette énormité c'est que cette banque centrale aux règles perfides ne parvient même pas à accomplir la mission-prétexte pour laquelle on l'a créée. En effet, alors qu'elle est sensée stopper les effets de l'inflation en appliquant une montée des taux lorsqu'elle le juge utile, on s'aperçoit que désormais l'inflation moyenne de la zone euro atteint les 2,5%. La banque européeenne monte donc ses taux, qui auront en parallèle un effet dévastateur sur les pays n'ayant pas le niveau de l'Allemagne. Les économies de beaucoup des pays piégés dans cette souricière européenne, sont donc encore plus mis à mal !


On s'aperçoit donc que :


- Cette europe et ses règles sont une totale absurdité puisque 27 pays ne peuvent pas avoir ensemble et en même temps les mêmes besoins. Il est impensable que de simples fonctionnaires qui se sont auto-octroyés une pseudo compétence inexistante, puissent ainsi contribuer à décimer des économies. On voit les immenses ravages causés par les bases européennes et les souffrances que l'on impose aux populations afin de soutenir à tout prix une aberration.


Cette europe est donc un échec total et sur tous les plans. Et il n'est pas étonnant qu'elle soit rejetée par la majorité des populations piégées.

- Cette europe a instauré des règles ahurissantes d'absurdité qui n'apportent strictement rien à aucun des pays concernés, et ne conviennent à aucun d'entre eux, y compris les plus forts; mais qui par ailleurs font souffrir les populations et empêchent les économies de se développer.

- Et on voit aussi que la prétendue monnaie unique européenne, qui a été un des plus importants facteurs inflationnistes ayant dégradé le pouvoir d'achat des européens, (ils s'en sont tous aperçus), n'a en fait rien d'une monnaie unique puisqu'elle n'a pas du tout la même valeur suivant les pays. En effet, à titre d'exemple, pour acquérir 1 Euro, la Grèce doit payer des taux 3 à 4 fois plus cher que l'Allemagne. La monnaie dite "commune" n'a en réalité rien de commun puisqu'elle n'a la même valeur dans aucun des pays qui l'a adoptée.


Pour finir


On a donc imposé cette europe absurde aux populations par la force, et sans les consulter. Et on a même obligé, par des manipulations gigantesques, une population (Irlandais) à revoter jusqu'à ce qu'elle approuve cette hérésie. Les citoyens ont donc été maintenus éloignés d'une machine incontrolable, dans laquelle ils ne peuvent en réalité rien décider.


Cette machine créée sans les citoyens et dirigée par des technocrates non élus, était sensée réunir les peuples. Or elle ne fait que les diviser en plus de les appauvrir. Elle est un exemple évident d'anti-démocratie que les populations ne continueront probablement pas à accepter longtemps, car les effets de cette europe apparaissent de plus en plus insupportables.






lundi 18 avril 2011

Merci

Merci

Il est vrai qu'une réelle visibilité n'est pas donnée à ces pages et à ce blog. Sans doute faute de temps. Il n'y a pratiquement que le bouche à oreille qui peu à peu a fait son effet au fil des mois...


Nous avons commencé par une consulation des articles se résumant à quelques dizaines de lecteurs. Puis vint le cap de quelques centaines, qui a duré et qui semblait stagner à ce niveau.


Et désormais un cran vient d'être réellement franchi. Les articles commencent donc à être consultés par des milliers de lecteurs, ce qui est encourageant. Chaque article et chaque opinion exprimée, n'est donc pas une simple bouteille à la mer. Et tant mieux. :-)



Merci à vous, tant pour votre passage, votre intérêt, ainsi que pour la divulgation à laquelle vous contribuez peut-être.



NB. Comme beaucoup l'ont constaté, ce blog est passé peu à peu du sujet réduit du Portugal, à un autre plan plus large. Un plan consistant à tenter de mettre en évidence les incroyables conséquences destructrices de cette europe, un jouet pathétique crée pour des lobbies et quelques oligarchies, au détriment des populations, dont la population portugaise, et dont le destin est intimement lié à la population française, vu qu'elles ont malheureusement en commun le fait d'être ensemble massacrées par les hérésies de cette machination européenne, et en subissent donc les mêmes conséquences.


Tous les sondages l'attestent, et le désintérêt pour les élections eurocrates ne vient que le confirmer à chaque fois : cette imposture européenne qui a détruit le bien-être des populations et qui compromet leur avenir, est un fait désormais acquis dans les consciences. Malgré les innombrables manipulations, et malgré le fait que ce monstre européen tienne les médias, directement ou indirectement, les populations ne sont pas dupes du stratégème et sont conscientes que cette europe est une bête qui les détruit.

vendredi 1 avril 2011

Le Portugal annule sa dette !

Le Portugal refuse de payer sa dette, et l'annule !
En effet, alors qu'il subit des pressions de toutes parts pour se faire prêter autour de 75 à 80 Milliards d'Euro, on vient d'apprendre que le Portugal aurait annulé sa dette, et refuserait de la payer, considérant que sa dette n'en n'est pas une, à juste titre.

Les marchés financiers sont en ébullition après cette décision du Portugal, que beaucoup considèrent toutefois comme un fait qui devenait inévitable, et que tôt au tard, cette décision ne pourrait qu'avoir lieu, du moins en partie.

Le Portugal ouvre-t-il une brèche dans laquelle vont s'engouffrer d'autres pays ?
L'exemple du Portugal va-t-il être suivi ?

Cette décision va-t-elle marquer un tournant ?

lundi 28 mars 2011

Grand mystère au Portugal

Portugal : Un grand Mystère


Pour comprendre un grand mystère qui a touché le Portugal, nous avons besoin de quelques chiffres préalables. Si vous êtes réfractaire aux mathématiques ne vous en faites pas car l'histoire prime sur les chiffres :-)


Quelques données pour poser les jalons



- En 2010 : la dette portugaise est estimée à 86% du PIB. En 2000, elle était de l'ordre de 51% de son PIB d'alors.

- A la même époque le PIB portugais était en gros la moitié de son PIB actuel. Cela signifie que sa "dette" est passée d'environ 60 Milliards de Dollars, à environ 180 Milliards de Dollars en l'espace de 10 ans.

Vus en valeur absolue, tout en demeurant en monnaie constante et comparables, les chiffres prennent une autre résonance. La dette est le résultat cumulé des déficits. Lorsqu'on évoque ces déficits annuels en % on éclipse la réalité des valeurs réelles, qui chiffrées prennent un autre contour.


On s'aperçoit alors que la dette générée en 10 ans n'est pas loin d'égaler la progression du PIB portugais dans la même période ! Aie.


A noter :


(*) La marge d'erreur et les approximations n'ont ici aucune importance, vu la grandeur des chiffres d'une part, et tant les indices sont aujourd'hui d'une volatilité ne laissant aucune place à la précision absolue. Ce qui nous importe ici est l'ordre de grandeur, basé sur une réalité avérée.


(**) Un minimum de justesse du raisonnement veut cependant que l'on tienne compte de l'évolution de la parité Euro-dollar pendant cette dizaine d'années. En tenant compte des variations et des ratios qui d'ailleurs se sont inversés, la différence en Euros et en valeur absolue entre la dette du Portugal en 2010 et sa dette en 2000, aboutit à environ une centaine de Milliards d'Euros en 10 ans.



Le début de l'intrigue... Cher Sherlock Holmes, au travail !

La dette publique portugaise a donc augmenté en 10 ans d'environ 100 Milliards d'Euros. Mais où cette quantité colossale (en regard du PIB portugais) de Milliards a-t-elle pu passer en si peu de temps ? D'autant plus que le Portugal a remboursé les intérêts de sa dette chaque année, du moins en partie. Il faut bien réaliser que tous comptes faits, cet accroissement de dette en 10 ans représente tout de même 10 mille Euros par habitant. Le tout dans un pays où la salaire moyen a até d'environ 670 E/mois, moyenné sur la même période.

Les gouvernements successifs portugais auraient-ils décidé à travers ces 10 années de rendre chaque portugais millionnaire ? Aurait-on construit en 10 ans des centaines d'hôpitaux au Portugal payés avec les deniers publics ? Non, au contraire puisque les hôpitaux existants ont même été transformés en entités semi-privées devant être rentables. Aurait-on subitement investi en 10 ans dans la modernisation à outrance de l'appareil productif ? Les PME portugaises auraient-elles été sur-aidées par des subventions colossales ? Les retraites des portugais auraient-elles été multipliées par 10 lors de ces 10 années ?

Non, rien de tout cela. Au contraire. Le pouvoir d'achat des portugais a même régressé. (Ce constat est vérifiable depuis leur entrée dans l'europe). Dans un récent sondage les portugais sont une écrasante majorité à trouver qu'ils vivaient mieux avant l'adhésion du Portugal à l'UE. Comme les autres, les portugais aussi ont conscience des dégâts. Ils sont également une immense majorité à estimer que l'entrée dans l'Euro a fortement diminué leur pouvoir d'achat. Eux aussi.



Mais alors, où est passée cette centaine de Milliards cumulés en 10 ans ?


En d'autres termes, d'où vient une dette aussi titanesque générée de façon aussi abrupte et en aussi peu d'années ?


Serait-elle due à une augmentation massive des fonctionnaires pubics ? Ou à l'embauche de dizaines de milliers d'emplois crées dans la fonction publique en 10 ans ? Non, au contraire, puisque les lobbies qui tiennent cette europe font tout pour que les services publics s'écroulent et finissent par être privatisés. (Le système de santé est pulvérisé. L'enseignement négligé. Pour continuer leurs études les étudiants sont obligés de payer de plus en plus cher leur accès au supérieur).


Donc, au Portugal aussi, les épurations des fonctionnaires et de l'administration publique vont bon train depuis une dizaine d'années. Par ailleurs la destruction massive des postes des "fonctionnaires utiles" (santé, enseignement, sécurité, etc) est elle aussi en marche, puisqu'on épure à tout va, détruisant ainsi la qualité des services publics essentiels.


En tout état de cause, ce n'est donc pas de ce côté qu'il faut chercher l'explication d'une telle accélération de la dette dans cette période.


Cette disparition d'argent gigantesque en un si court laps de temps serait-elle alors due à du gaspillage engendré par la lourdeur d'une bureaucratie Inutile, lourde et coûteuse ? Oui, biensûr. En partie. Mais cela n'explique en rien l'augmentation abrupte du niveau de la dette en dix ans, d'autant plus qu'au contraire les gouvernements successifs se sont attelés, surtout depuis 2005, à faire un ménage historique dans le paysage bureaucratique inutile et coûteux.


Des dizaines d'entités ont ainsi été laminées et passées à la trappe. A titre d'exemple, au cours de son premier mandat, le premier ministre José Socrates a entrepris d'importantes réformes de l'administration publique, afin d'en réduire la lourdeur et les coûts.



Où est la cachette ?

Ce n'est donc pas de ce côté là que peut provenir l'explication d'une aussi soudaine montée en puissance de la dette portugaise. Si avant 2000 elle était d'un niveau tout à fait acceptable, voire normal, (le tout avec la même lourdeur administrative et un poids supérieur de la fonction publique), il est donc inexplicable que cette dette ait ainsi atteint brusquement de tels sommets en aussi peu d'années, surtout après autant d'épurements des comptes publics.


Il est utile de savoir qu'en 2005 les carrières, les pensions et les salaires des fonctionnaires (qui bien que lourds, ne pèsent malgré tout "que" 15% du PIB au Portugal) ont été gelées.

Mais alors, si on ne peut même pas imputer cette déperdition ubuesque et surtout soudaine (en 10 ans) à ces vauriens de fonctionnaires inutiles, pourtant constamment accusés de s'empiffrer sur le dos de la collectivité, où sont passés ces Milliards ?

100 Milliards d'Euros en 10 ans, ça ne peut tout de même pas passer inaperçu. Que personne ne sorte !



En fait, c'est pire que ce que l'on pense

Et encore, dans ces Milliards on ne tient pas compte de la vente d'une partie du patrimoine portugais par José Manuel Barroso, afin de se plier aux exigences des impositions européennes (lorsqu'il a été premier ministre du Portugal pendant deux ans avant de brusquement prendre ses jambes à son cou pour aller à Bruxelles en plein milieu de son mandat de premier ministre).

Toutes ces ventes massives du patrimoine portugais, sont une façon d'escamoter la réalité, et sont en fait des ventes "des bijoux de famille", qui viennent en fait augmenter plus encore le véritable niveau de déperdition auquel on se réfère. (Cela signifie en clair que les 100 Milliards en question représentent en réalité une somme plus importante encore, et ce, en ayant appauvri le patrimoine du Portugal).




Résumons...


Les gouvernements successifs ont épuré de tous côtés. Les dépenses ont été amoindries. L'aspect social a été négligé et réduit. On a fermé des écoles à tout va. On a restructuré les centres de santé portugais afin de réduire les coûts. Le poids de l'Etat a été allégé. La tva et la fiscalité en général ont été augmentées entretemps. Une chasse aux impôts non payés a été entreprise.


Ca n'a donc fait qu'améliorer les rentrées d'argent. Rien ne peut donc expliquer ce déclenchement vertigineux et brusque du niveau de dette portugais en si peu d'années. Les gouvernements ont beau raboter de tous côtés, rien n'y fait, et rien n'explique que malgré ces nettoyages gigantesques, la dette ait ainsi subi une hausse aussi violente sur une période aussi courte.


Etrange. Plus le Portugal récolte d'argent et économise, moins il en a, ou plutôt plus il en doit (puisqu'on parle de dette). Fichtre ! Le Portugal serait-il soudain devenu un fromage rempli de trous, par lequel s'échappent les deniers de façon incontrôlée? Cherchons la souris !


Eclats de rire



Après avoir supporté les lignes précédentes, les économistes en herbe se mettent à rire en cœur du haut de leur immense compétence, et à rétorquer avec un air hautain : Hé banane ! Cet accroissement de la dette, est évidemment la résultante du cumul des déficits budgétaires engrangés pendant ces années !


Amen. La bonne affaire. Décidément ces économistes, dont toutes les prévisions se sont avérées erronées, prennent les autres pour des ignares. Ce véritable trou d'air est évidemment dû à un cumul accru du déficit public en forte hausse et d'ailleurs abaissé depuis 2005. Cela, on le savait.


La vraie question



Mais la véritable question est ici : Comment diantre, fichtre, diable, les déficits publics ont-t-il pu aussi soudainement et en si peu d'années, sans des faits qui le justifient, ainsi grimper de tels sommets à la vitesse d'un coureur cycliste arborant fièrement le maillot à pois ?


Aucun phénomène nouveau n'étant venu changer subitement le cours des choses pendant ces dix années (qui rappelons-le ont été au contraire, des années d'épurement), on se retrouve là devant une inconnue. Mon cher Watson, avez-vous du feu je vous prie, afin que je tente d'y voir plus clair dans cette étrange affaire ?


Et si l'argent des portugais, c'est à dire les richesses qu'ils produisent par leur travail, était en fait parti en fumée ? Drôle d'idée.



Drôle d'idée ?

Il faut bien comprendre les étapes et le mécanisme du piège européen : Depuis 1992 l'europe a obligé le Portugal et les autres pays adhérents (article 104 du traité de Maastricht) a renoncer à fabriquer sa propre monnaie et à financer ses besoins en empruntant auprès de la finance européeenne.


L'Europe a ainsi placé le Portugal (entre autres) non plus dépendant de lui-même, mais dépendant des marchés financiers extérieurs et de leur bon vouloir. Curieux. Les pays ont donc accepté un aussi énorme piège ?


Ensuite, les entités financières se sont engouffrées dans une complexité incontrôlée par le biais d'instruments financiers tendant à diluer et à rendre opaques les origines des prêteurs.


Dans la période pré-Euro, (97/2000) on a procédé à la mise en place de la gestion de la dette en Euros, au renforcement de l'importance des opérateurs spécialisés dans la mise en place de la dette sur les marchés spécialisés, ainsi qu'à la création d'une sorte de halles de dette publique pour grossistes avec sa plateforme de négociation). La dette publique des Etats concernés a até assimilée à la vente de poisson ou de cacahuètes proposés en gros et au mieux offrant. La dette publique a été livrée comme une vulgaire marchandise, pieds et poings liés au bon vouloir des acheteurs.


Les marchés financiers acheteurs de dette, tels qu'on les qualifie aujourd'hui, sont ainsi nés. Le système européen a lui-même créé ses bourreaux, qui ont évidemment appliqué des taux d'intérêt aux sommes empruntées, que le Portugal n'a évidemment plus contrôlé, puisqu'empêché de le faire par l'Europe. Si durant les premières années européennes les effets maléfiques de cette imposition ne se sont pas fait sentir du fait de la croissance et d'un contexte plus favorable, les conséquences ont inexorablement fini par éclore, surtout avec la mise en place de l'Euro et d'un système "libéré" régissant la négociation sauvage de la dette publique.


Le pays a donc été fortement et inévitablement endetté par la lourdeur des intérêts payés sur les emprunts externes imposés. Il est évident qu'un pays qui a la possibilité de contrôler ses taux d'intérêts, demeure libre de son action et peut contrôler la réaction des marchés en cas d'aléas. Mais qu'en contrepartie, s'il abandonne la maîtrise de ce contrôle au bon vouloir de "partenaires" inconnus, il se met à la merci de ces derniers. Et le moindre aléa peut prendre des proportions catastrophiques.


On commence donc à comprendre ici, qu'en ayant été obligé par l'Europe d'abandonner la maîtrise de sa dette à des entités sauvages, incontrôlées et incontrôlables, le Portugal s'est jeté dans la gueule du loup.


Ce serait donc ça ? En fait le Portugal ne se serait pas réellement endetté, mais aurait en fait principalement été endetté par le gros appétit d'adversaires masqués qui se sont mis à jouer aux osselets avec sa dette ? Mais que fait la police ? N'en restons pas là, car ça mérite des approfondissements...


En avant la musique !



En parallèle au pillage, l'europe a appliqué les mêmes impositions draconiennes à tous les pays qui la composent, (pacte européen de stabilité et de croissance) sans tenir compte de leurs spécificités et de leurs caractéristiques propres. Essayez donc de soigner des dizaines de personnes ayant des symptômes différents avec un seul et même médicament ! Essayez donc d'imposer à des coureurs à pied, aux tailles, aux potentialités et aux profils différents, de tous courir à la même vitesse !


Vous avez dit "hérésie" ? Alors vous venez d'ainsi qualifier vous-même cette europe.


Les exigences du pacte de débilité stabilité ont donc été rigides, claires et sans équivoque. Quelle que soit la situation du Portugal, il a du répondre aux mêmes exigences. Tous à la même enseigne. Les pays ont tous été alignés sur les mêmes bases, quelles que soient leur taille, leurs potentialités, leur cursus, et leurs caractéristiques spécifiques. (Ces gigantesques hérésies ont bel et bien été inventées, sans rire, par des technocrates se prétendant économistes).


Pour atteindre les objectifs imposés par ces aberrantes impositions, les pays n'ont pas eu le choix. On a donc évidemment obligé le Portugal (comme les autres) à tailler dans la masse, à restreindre ses politiques sociales, à détruire ses services publics, et à entamer des restrictions budgétaires incompatibles avec la marche normale d'un pays et au détriment des populations.


(Ne pas perdre de vue qu'en taillant de la sorte dans la masse, la croissance ne peut qu'être entravée, ce qui a comme répercussion de mettre des entreprises en faillite et de créer du chômage). Qu'à cela ne tienne. Cette europe est devenue la zone du monde la plus fragile, mais la comédie jusqu'au boutiste continue entraînant les pays piégés dans la décadence.


Tous les manques perçus par les citoyens de cette UE se résument à une seule explication : le manque de finances, qui résulte lui-même du pillage perpétré par les financiers et permis par cette europe ! Quelles que soient les lacunes que chacun ressente dans son pays respectif, il doit les attribuer au même manque de moyens, du fait des sommes dilapidées dans le ciel financier européen. Pour qu'une Nation avance et progresse, le seul moteur capable de tout réaliser est l'argent. Or si cet argent fait défaut, car accaparé (pillé) par des forces extérieures, plus rien ne devient possible.



La destruction...

Pendant ce temps, le monde financier ne s'arrête pas. Au contraire.

Les intérêts des emprunts sur les marchés financiers continuent à courir et à s'accumuler, amplifiant ainsi la dite "dette". Et les intérêts de cette dette viennent se cumuler année après année à la dette elle-même, formant ainsi un cercle vicieux sans fin qui ne fait que grandir et s'accumuler.


C'est à dire qu'au Portugal comme dans les autres pays concernés, on en est arrivés à ne payer les impôts sur le revenu que et uniquement que, pour pouvoir payer les lourds intérêts de la dite dette générée par le fait d'avoir obligé les pays concernés à se financer auprès des banques européennes aux taux qu'ils veulent. Les impôts sur le revenu payés par les portugais sont donc allés année après année dans l'escarcelle des financiers au lieu d'être consacrés à la marche du Portugal.

Cette europe a bel et bien appauvri et détruit le Portugal !




Le saviez-vous ?

Saviez-vous que tous ceux qui en arrivent à cette pourtant simple évidence, ne sont pas qualifiées de personnes lucides. Et qu'il sont habilement qualifiés avec un mépris perceptible, de nonistes ou d'europhobes par les adeptes acharnés d'un système basé sur une manipulation bien huilée et à grande échelle ?

Il est à préciser que ces impôts ne pouvaient financer que les intérêts. La dette restant donc à son niveau, et allant même en croissant. Ce manège continue ainsi d'année en année, dans une course folle interminable.

En parallèle, les financiers véreux ou/et incompétents jouaient au casino. Un casino vérolé, et ce, encouragés par des agences de notation qui les ont conduits à la faillite. Ils y ont perdu leurs actifs en se ruinant.


Les Etats concernés et mis devant le fait accompli ont opté. Ils auraient pu laisser s'effondrer les banques coupables et les banquiers incompétents. Mais laisse-t-on périr les amis d'amis d'amis ? Ce qui aurait pourtant été dans la logique économique que subit toute entreprise en faillite. Avez-vous déjà vu un Etat s'empresser de venir assister des PME en faillite résultant de l'incompétence et de malversations de leurs dirigeants ?


Au contraire. Les Etats concernés, poussés par une europe uniquement soucieuse de préserver les intérêts des financiers et des lobbies qui la dirigent, ont choisi de faire payer les populations pour sauver les banques des absurdités et des magouilles dans lesquelles elles ont plongé avec allégresse. Il faut surtout avouer que si l'europe avait laissé écrouler les banques concernées, elle même aurait entamé sa destruction. L'échec dans lequel elle se trouve aurait pris des proportions inextricables qui auraient conduit à sa perte. On a donc sacrifié les populations.



Olé !

On est en plein dans l'arène au sein de laquelle le pauvre taureau ne peut que tourner en rond avant sa mise à mort. Déjà appauvris par un pillage en règle, en qui plus est devant désormais supporter les conséquences des absurdités précitées, les Etats concernés, dont le Portugal, ont alors vu tous leurs indicateurs exploser. Les populations ont été prévenues : "c'est à vous de payer l'incompétence des banquiers". Soit.

Dopés par la providence, les banques se remettent vite de leurs émotions et recommencent rapidement à engranger des bénéfices. Les pertes ont été mutualisées et publiques. Et les bénéfices privatisés. Logique pure.


Soudain, un coup de théâtre monumental

Comme prise d'une prompte folie, ou piquée par un insecte venu d'une obscure contrée, la même europe, celle de laquelle ont découlé toutes ces hérésies, entre alors subitement dans une lubie à la soudaineté suspecte.

Malgré l'extraordinaire contexte dans lequel ont été placées les populations malgré elles, l'europe impose immédiatement et subitement aux Etats adhérents de consolider au plus vite leurs comptes et notamment de diminuer leur dette publique sans délai. (Diminuer immédiatement une pseudo-dette découlant de ses propres absurdités, le tout après avoir obligé les populations à payer la faute des banquiers... On atteint là le summum du burlesque ou plutôt d'une situation kafkaienne !)

Voilà une intrigante imposition aussi sauvage qu'aberrante, après la mise à sac des populations que cette même europe avait permis de perpétrer sans vergogne à travers l'absurdité de son concept et de ses règles.



A L'attaque !

Les pays les plus fragiles, y compris le Portugal dont les indicateurs étaient pourtant dans la moyenne et tout à fait acceptables, se sont alors vus attaquer par les marchés financiers, ceux-là même qui dirigent l'europe de la finance. Ceux-là même qui les ont pillés année après année.

Dans cette nouvelle phase d'un massacre inqualifiable, ces derniers se sont lancés billes en tête dans l'attaque de certains pays, dont le Portugal. Les prédateurs s'attaquent généralement aux moins puissants. Ils auraient tout aussi bien pu s'attaquer à la France, qui avait un niveau de dette publique supérieure à celle du Portugal et des indicateurs comparables. Mais en s'attaquant à la France, un des pays fondateurs de cette énormité destructrice, on savait qu'on tuerait inévitablement la bête européenne à chaud. Pas folle la guêpe.

Avec l'entière complicité du mécanisme européen et des agences de notation, ils ont ainsi mois après mois exigé d'avantage d'efforts des pays concernés. (Davantage d'efforts signifie faire payer les populations plus cher afin que leur pays obtienne la même quantité d'Euros qu'un autre, tel l'Allemagne par exemple).


Le prétexte ? Certes les indicateurs économiques du Portugal sont d'un niveau tout à fait acceptable, mais les "spécialistes", (ceux-là même dont on a payé cher l'incompétence et qui ont été les fautifs de la dite crise qu'ils ont généré), se permettent de juger que "le Portugal ne présente pas d'indices tendant à penser que sa future croissance va s'amorcer de façon significative".


Ces pseudo-spécialistes, après avoir contribué à piller le pays, ont donc décidé, entre la poire et le fromage, d'attaquer le Portugal en l'assommant avec des taux d'intérêts prohibitifs et indécents. Tous les prétextes y sont passés. L'hypocrisie malsaine est à son comble, et son niveau n'est comparable qu'à son avidité quasi-morbide, puisque les conséquences de ce pillage en arrivent à affamer des citoyens et donc à en tuer certains. Bien lire : "Semer misère et mort".



Le bal des vautours ou des vampires ?

Ils ont donc dans un premier temps pillé le pays. Et dans un deuxième temps ils entreprennent ensuite de le dévorer. Le bal est programmé. L'Europe est aux premières loges. Celle-ci encourage avec véhémence les dirigeants des pays qui la composent à entreprendre toutes les mesures nécessaires pour réduire les dépenses.


La souffrance est de rigueur et est vivement encouragée. Ceci exclusivement afin de pouvoir faire face aux remboursements des financiers et non pas dans le but d'améliorer la condition de vie des citoyens. Bien au contraire car ceux-ci voient leurs acquis s'effondrer, leur condition régresser, leur qualité de vie se dégrader, et des exigences de plus en plus insupportables peser sur leur quotidien, en contrepartie de... rien.

Un peu de langueur...


On se pose une seconde sous un beau clair de lune, et on se prend à méditer que cette europe devait être la panacée, qu'elle devait nous protéger, que l'Euro devait être une monnaie de progrès, assurant prospérité et bien-être. Notre pouvoir d'achat allait augmenter de façon inconséquente. Stop. En fait de protection, on a eu la destruction. En fait de prospérité on a eu la décadence. C'est exactement le contraire qui s'est passé.


La zone euro a été la plus atteinte par la crise, plus encore que les USA d'où elle est pourtant partie. Le clair de lune était une vulgaire lampe artificielle. Leurre et tromperie sur toute la ligne. Cette europe a fait régresser les citoyens de ce continent, qui pour la première fois de leur histoire s'appauvrissent et marchent à reculons. Ce constat est visible par tous et sur tous les plans, économique et social. S'y ajoute le plan des libertés individuelles, qui désormais sont régies et contrôlées par la machine eurocrate.



On débranche la lampe et on se remet dans la réalité.


Pendant ce temps, un maître d'école tire les marrons du feu. L'Allemagne, pour ne pas la nommer, mène la danse autant qu'elle peut et en grand seigneur, profitant au passage de sa capacité d'exportation et de la faiblesse des partenaires qui s'agitent sur la piste. Piste de danse ou de cirque ? En maître à danser, elle guide les pas des uns et des autres suivant son bon vouloir.


Piégé dans ce traquenard financio-mafieux, (qui pourrait être effectivement assimilé à la mafia du fait de son ampleur et de sa forme tentaculaires, autant que par les immenses intérêts croisés qui manipulent l'ensemble), le Portugal n'a donc plus de marge de manœuvre. Pour faire face aux exigences des pillards, les gouvernements portugais valsent et valseront à tour de rôle.


Mais quelle qu'en soit leur couleur, ils ne peuvent que mettre le pays à feu et à sang, par des mesures d'austérité humainement insupportables, plongeant les entreprises en faillite et les populations dans la précarité et la misère. Tout espoir de croissance à court et moyen terme est compromis. En parallèle, l'annonce de multiples privatisations est enclenchée. Et le patrimoine portugais est vendu par morceaux dans le célèbre "marché de dupes".



Dernier épisode : "Aider" le Portugal ?

L'europe, le véritable pilier de cette destruction massive, vient alors se poser en sauveur. Véridique. Elle vient tromper les populations par des manipulations verbales : Nous allons vous "aider" ! Clament en coeur des voix métalliques appuyées par les médias complaisants.

C'est trop, vraiment ! On ne saurait accepter autant de complaisance et de compassion de la part des fautifs. Il convient de savoir que cette "aide" proposée si gentiment n'est en fait qu'un prêt, qui non seulement devra être remboursé et à taux fort, mais qui de surcroît ne profite pas aux populations. Blague typiquement bruxelloise ? Il conviendrait de signaler le moment où il faut rire.

Ce prêt déguisé ne servira qu'à être sûrs que les loups de la finance, ceux-là même qui ont déjà endetté le Portugal, seront payés de leurs intérêts. On l'a vu, les "pseudo-aides" récemment apportées à la Grèce et à l'Irlande n'ont strictement rien résolu du tout, et pour cause. Les pays ont été plus endettés encore et en ont pris pour des années supplémentaires de remboursement et de souffrances.


Arrive alors le grand loup mondial sur son cheval peint en blanc, lui aussi pour apporter "son aide FMIque bénéfique", qui comme on le sait se transformera en perte de souveraineté du pays. Attention danger. La Grèce en fait les frais. Non merci. Le Portugal a déjà donné dans sa longue histoire. Du peu qu'il reste, il serait bon d'en garder des traces.


Forcing à tout prix

Mais le forcing et la pression continuent. Il faut absolument que le Portugal accepte "notre aide" ! Insistance bizarre ! De force, on veut donc endetter le pays plus encore ? Mais on comprend vite qu'en réalité cette "pseudo-aide", qui n'est qu'un prêt cher payé, est en fait destinée :

- A assurer le remboursement de la dette en l'étalant, et à s'assurer que les vautours financiers ne seront pas laissés pour compte. Evidemment que le pays et ses habitants ne profiteront pas d'un centime, puisqu'ils devront tout rembourser. On comprend mieux une telle insistance pour que le Portugal soit "aidé".


- Et surtout à assurer la survie de la machinerie européenne. Car à chaque instant elle risque de voler en éclats, tant son concept tient sur des contradictions et des aberrations perceptibles. Il faut donc tout faire pour que ce château de cartes ne s'acroule pas d'un coup.

Et voilà donc pourquoi "on" tient tant "à aider" les pays, y compris malgré eux !


Saigné à vif, le Portugal est piégé comme beaucoup d'autres dans cette machination technocrate infernale et dans ce piège de la mort européen, qui détruit tout sur son passage et qui étrangle les populations.

Des élites en toc

Les élites politiques des pays embourbés dans cette europe peuvent être assimilés à des robots, devenus incapables de conduire une quelconque politique cohérente de leur pays respectif, et perdant leur temps et leur énergie à tenter de faire face aux attaques constante des assaillants.

"On n'a plus d'argent. Les caisses sont vides", entonnent-ils tous en coeur. Et pour cause. Non seulement ils laissé piller leurs pays respectifs, mais de plus ils obligent les populations à payer cher des intérêts pour de l'argent volé.


Ils ne décident plus de rien. Malgré les apparences qu'ils donnent ils ne contrôlent strictement plus rien. Ils ne contrôlaient déjà presque plus l'aspect législatif tombé en majorité aux mains de l'europe. Ils contrôlent encore moins l'aspect financier tombé aux mains d'assaillants masqués. Toute revendication des populations est donc devenue inutile puisque leurs élites ont perdu le pouvoir d'agir. Ils ne peuvent que demeurer sourds et impuissants. On comprend pourquoi les populations ne font plus aucune confiance en leurs élites et se détournent des votes qui ne servent plus que d'alibi pseudo-démocratique. La politique est morte. Cette europe l'a tuée.


Toutes les économies réalisées à travers les mesures d'austérité sans pitié, s'écoulent dans le caniveau des hausses d'intérêts permanentes. Des efforts inhumains aussi inutiles qu'inadmissibles.



Cette europe, la coupable

Voilà la coupable de cette intrigue initiale. On sait désormais où sont passés les 100 Milliards de "dette" accumulés par le Portugal en 10 ans.

Comme elle l'était avant l'union européeenne, la création monétaire devrait être réservée aux banques centrales de chaque pays respectif, afin de mettre en circulation une masse d'argent destinée à servir les objectifs du pays, c'est à dire des objectifs publics. Et non pas abandonnée au bon vouloir d'agents inconnus et incontrôlables.

Cette europe et ses rouages malsains sont une ignominie et une atteinte à la dignité des citoyens qui la composent et qu'elle méprise. L'inutilité de cette europe passée par la force et le mépris, n'a d'égal que son envie de contrôle, d'inquisition et de précarisation à outrance des populations qui pourtant en sont le coeur, mais qui n'ont qu'à subir et demeurer bâillonnés. Condamnées à obéir aux directives de technocrates non élus par elles. Triste sort. Tout ça pour ça.


Contrairement à ce que les pro-eurocrates forcenés essaient de marteler avec l'entière complicité de médias détenus par une oligarchie intéressée, ce ne sont pas les partis populistes qui réclament la sortie de l'europe. Ce sont surtout les populations elles-mêmes qui n'en peuvent plus de supporter cette machination!



Assez !

Les populations manifestent un vif désintérêt pour cette europe. Chaque éléction affiche cette évidence. Elles n'en peuvent plus de ce néo-libéralisme ravageur devenu fou et en total échec. Elles en ont assez de ce lamentable jouet pour banquiers créé par des banquiers pour les banquiers, qui les entraîne dans la perte de tous leurs acquis. Elles ne supportent plus cette gigantesque farce qui transforme le rire en larmes et l'attente en trahison.


Elles en ont assez d'avoir à subir les méfaits d'un monstre anachronique qui ne leur a apporté que baisse du pouvoir d'achat, précarité, misère, incertitudes, peur, chômage et violence. Les populations ne supportent plus la médiocrité de cette europe qui ne leur ressemble pas. Elles en ont assez de cette machination froide, hautaine et distante qui détruit leurs aspirations, qui compromet leur avenir, le futur de leurs enfants, et pire, qui a tué leurs espoirs et leurs rêves !

Les pauvres dégringolent dans la misère. Les classes moyennes se précarisent et s'appauvrissent. Exigence, qualité, sérieux, valeurs, deviennent des qualificatifs qui s'estompent, compromettant l'avenir. La dégradation de tous les pans de la société est une évidence quotidienne. Serai-ce démagogique que de clamer fort ce qui n'est qu'un triste constat ?

La quille ! La quille devra-t-elle s'obtenir par une révolte que beaucoup pressentent et qui ne parvient à être contenue qu'à travers la manipulation, ou par la mort naturelle mais précipitée de cette machine destructrice, de son Euro et de ses hérésies insensées ?


L'intrigue se termine là. Mais le cauchemar continue. Une chose est sûre, cette europe semant malheur et souffrances et conduite par les lobbies et sans les citoyens, ne laissera qu'une tache dans l'histoire. Mais combien de temps encore, lui permettra-t-on de continuer ses ravages à l'ampleur réelle inquantifiable ?



Signé : Un portugais, donc un habitant du continent européen, emprisonné comme les autres et malgré lui dans une machine infernale, qui rêve d'une vraie europe et qui ne supporte donc plus cette imposture eurocrate qu'on ose qualifier d'europe, une bête irresponsable qui n'affiche qu'incohérences, incompétence, grottesque, médiocrité et irrespect.