Les portugais : prisonniers de cette europe et de l'Euro
Piégés par les conséquences désastreuses des règles absurdes de cette europe, les portugais souffrent amèrement, et le supportent de moins en moins. De par le monde, l'heure est à la libération. Le Portugal ne se libérera probablement pas facilement de l'emprise dévastatrice de cette europe, car les portugais sont maintenus dans un flou et dans une obscurité volontairement entretenue par la machine à broyer eurocrate, ses vastes tentacules et ses intolérables procédés surnois.
Certains au Portugal prédisent l'éclatement. D'autres entrevoient les signes d'une révolte. Coincés dans l'étouffoir européen et victimes injustes d'un programme d'austérité sans précédent, les portugais se rendent très majoritairement compte qu'ils vivaient beaucoup mieux avant leur entrée dans cette europe. De récents sondages montrent très nettement qu'ils sont lucides sur ce plan. Et ce, malgré l'euro-lavage de cerveau permanent qu'ils subissent.
Naïveté et méconnaissance
Mais ils n'ont cependant en majorité pas encore véritablement conscience que le fautif est cette europe, un gadget créé de toutes pièces pour servir de prétexte aux puissants acteurs privés qui se cachent derrière elle, et qui tirent les ficelles de l'ensemble du système. Que ce sont ceux-là qui les dépouillent littéralement. Ils attribuent donc inconsciemment le net recul de leur qualité de vie, de leur pouvoir d'achat, et de leur bien-être, à leurs élites politiques.
Les portugais entretenus globalement dans la naïveté, ne font donc pas encore la liaison directe entre la décadence qu'ils constatent et le fait que l'immense pillage dont ils font l'objet est le résultat direct de leur entrée dans cette entité européeenne qui les a appauvris, qui broye leurs acquis de jour en jour, et qui de surcroit, leur fait payer les conséquences désastreuses de ses propres aberrations.
Et le pire attend les portugais, comme les autres.
Les portugais n'ont pas encore conscience de la suite qui les attend, car comme en Grèce et en Irlande hier; et demain en Espagne, France ou Italie, le massacre va en s'amplifiant. Entièrement manipulée par une communication eurocrate qui se met insidieusement hors d'atteinte, la population portugaise n'a qu'une vue déformée et limitée des véritables causes de son malheur. Elle se contente donc naïvement d'attribuer les fautes aux décideurs nationaux.
Hier, ce fut Barroso (droite) qu'ils ont rejeté massivement pour avoir mis le Portugal dans une situation catastrophique sans précédent. Aujourd'hui c'est Socrates (gauche) qu'ils rejettent pour les mêmes raisons. Les politiques alternés font ainsi office de défouloir ou d'amuse-gueule pour une population exaspérée par tant de médiocrité successive, mais qui ne réalise pas que ces politiciens n'ont en fait quasiment plus la main sur rien, et que la responsabilité est ailleurs.
Ce manque de discernement et de lucidité de la population favorise autant cette europe que les élites politiques nationaux, qui ensemble trouvent leur compte dans une sorte d'alliance tacite. L'une se maintient impunément à l'abri du courroux des populations et donne l'illusion de l'existence de démocratie aux citoyens. Les autres parviennent quant à eux à tour de rôle au pouvoir qu'ils affectionnent, et duquel ils tirent d'immenses avantages. Quant aux citoyens, ils se cantonnent à se défouler sur ceux qu'ils ont à portée de main et qu'ils placent au pouvoir par alternance. Le compte est bon dans ce jeu sans fin.
S'il n'y a pas un réveil et une prise de conscience de la culpabilité de cette europe qui les a menés vers l'abîme et qui les écrase, on peut donc faire le pari que la manipulation des masses continuera à l'emporter, et que cette europe pourra tranquillement continuer à semer la misère.
Le jeu de dupes incessant des politiques aux ordres de cette europe
Afin de vider la substance du vent de colère qui monte actuellement au Portugal, le ballet des partis au pouvoir va probablement continuer son jeu de dupes. Le gouvernement portugais actuel leadéré par José Socrates, (s'affichant "de gauche" mais appliquant le même semblant de politique euro-uniformisée que celle menée précédemment par José Manuel Barroso, qui en 2004 a subitement abandonné son poste à mi-mandat au profit d'une carrière à la commission de Bruxelles), suit à la lettre le même manège euro-lissé appliqué dans les Etats piégés par cette europe. Perçu comme le fautif de la situation actuelle du pays, son tour est venu, et il "sautera" certainement avant son terme.
Ce "son de cloches" avant l'heure servira ainsi de fusible pour éviter une éventuelle révolte populaire. Les politiques comme les technocrates européens, craignent par-dessus tout un réveil des populations, sachant que l'huile chaude peut vite se répandre. Dans certains pays on remanie. Au Portugal on vire, mais la stratégie est la même. On procédera donc encore au jeu de l'alternance bi-polaire inutile, un jeu de pantins qui dure depuis des décennies, mais qui comme dans chacun des pays piégés, ne servira que d'éternelle soupape permettant ainsi de prolonger indéfiniment cette pathétique comédie.
Une comédie se cantonnant à choisir la couleur des amuseurs nationaux qui auront le privilège de continuer à faire le jeu de l'opaque roi eurocrate et des puissants lobbies assis sur son trône. Les élections nationales ne sont plus qu'un alibi permettant indirectement d'avaliser aux yeux des citoyens ainsi bernés, cette europe et sa conception toute particulière de la démocratie.
Le saviez-vous ?
Cette union européenne est le seul "espace géographique" au monde dans lequel des citoyens qui ont voté, peuvent être contraints de revoter jusqu'à ce qu'ils votent pour le choix que les élites désirent. Cela a ainsi été le cas du peuple Irlandais, qui au-delà d'avoir été le seul autorisé par l'UE à s'exprimer sur le traité de Lisbonne, a été contraint de revoter (!) après s'être exprimé contre le traité de Lisbonne. La population irlandaise a ainsi été obligée de revoter. (Avis aux martiens : Oui, ceci se passe en europe). Elle a donc fini par "bien voter" pour le choix fixé d'avance par les technocrates européens et les politiciens à leur service. On mesure ainsi le degré de manipulation exercé par cette europe, qui est parvenue à faire avaler à des citoyens une aussi impensable énormité.
Cela montre l'odieux mépris affiché par cette europe envers les populations. Et prouve à quel point dans cette europe, le vote est une simple farce sans strictement aucune valeur.
Cette UE est aussi le seul endroit où lorsque des populations se sont exprimées par les urnes, des "élites" manipulent les votants et bafouent le résultat du vote, puis s'auto-octroient le droit de changer les règles du jeu à postériori afin de passer outre le vote exprimé. (!) Cela a été ainsi été le cas du peu de populations européennes que cette UE n'a pas maintenues bâillonnées, et qui ont rejeté la constitution européeenne. Cette dernière a alors été maquillée dans l'ombre, dans la précipitation et après-coup en "traité" de Lisbonne. Et les "décideurs" ont ainsi méprisé les votes exprimés par les populations par le biais d'une autre gigantesque manipulation. Il leur fallait passer coûte que coûte ce traité ayant pour unique but de laminer les populations. On s'en aperçoit aujourd'hui. Pari réussi, puisque les populations se sont laissées totalement avoir.
A chacun de juger de la légitimité qui peut être accordée à une entité édifiée sur d'aussi lamentables procédés.
Et c'est pourtant uniquement sur cela que reposent toutes les bases et les fondements de cette europe. Une entité qui a bafoué les citoyens et de laquelle ils ont été exclus. Ce sont pourtant ces mêmes règles qui aujourd'hui leur sont imposées. Et ce sont toujours ces mêmes règles d'une absurdité à peine croyable, dont on leur impose aujourd'hui de supporter les conséquences, alors qu'elles les ont amenés et les maintiennent dans une situation économique et sociale catastrophique.
Les politiciens de l'inutile
Dans le cadre du jeu habituel de chaises tournantes, les portugais comme les autres populations prisonnières du fantoche eurocrate, vont donc aller s'empresser de voter pour un des choix restreints qu'on leur proposera dans leurs pays respectifs, étant ainsi entretenus dans l'illusion de vivre dans une véritable démocratie... Jusqu'à la prochaine danse. Et ainsi se poursuit le bal... conduit par des politiciens devenus des polichinelles sans véritable pouvoir.
Certes, les portugais comme les autres européens ont bien pris conscience de l'inutilité et de l'inefficacité du système politique tel qu'il leur est imposé. De surcroît, les politiciens finissent de se couler eux-mêmes par un tourbillon de manipulations grossières, de corruptions incessantes, de magouilles, d'affaires impunies, de favoritisme etprivilèges mêlés aux copinages, etc. Gouvernement après gouvernement et clan après clan, l'impression "d'Etat bananier" est le très net sentiment ressenti par la population portugaise. Comme dans les autres pays victimes de ce mal européen, les politiques portugais ont perdu le peu de crédibilité qu'ils avaient. Un immense fossé s'est créé entre les portugais et les élites sensées les gouverner.
Au fond, ce texte est lui-même un des innombrables reflets de la perception, du désarroi, de la lassitude et de la saturation qu'éprouvent les populations, stupéfaites de se voir imposer des pseudo-valeurs, qu'ensemble, politiques et technocrates détruisent par ailleurs avec médiocrité et désinvolture, sinon avec une énorme dose d'inconscience et d'irresponsabilité.
Un vent véhiculant des idées extrémistes souffle inévitablement aussi au Portugal. Mais comme partout ailleurs dans ce "no man's euroland", il n'est en réalité que l'expression creuse et aveugle d'un défoulement consécutif à l'autisme politique, lui-même découlant de son impuissance face à l'emprise de cette europe qui terrasse tout sur son passage et qui mine Etats et populations. Ce "souffle" d'air artificiel et éphémère joue sans doute lui-même un rôle de désamorceur ponctuel psychologique permettant d'éviter d'autres formes d'expression plus virulentes.
Le marketing politicien a beau essayer de tenter de ringardiser ceux qui brandissent l'inévitable slogan du "tous pourris"; rien n'y fait. Au contraire, cela semble davantage faire naître des lueurs de lucidité. Les portugais ont désormais dépassé le cap du désintérêt envers leurs politiques et semblent nettement avoir franchi celui du mépris.
Abstention et vote blanc en masse
L'abstention et le vote blanc viennent ainsi de l'emporter largement au Portugal, affichant même un record historique. Deux expressions très nettement et majoritairement exprimées à l'occasion de la récente élection présidentielle qui n'a pas intéressé grand monde. Un "président" a ainsi été élu, ou plutôt ré-élu, sans aucun enthousiasme et sans gloire. Tout un symbole. Les partis politiques portugais se sont d'ailleurs eux-mêmes montrés d'une tiédeur manifeste à l'occasion de cette élection, embourbés dans des stratégies et alliances de circonstance, et au fond sans doute également rendus à l'évidence de leur inutilité.
Au milieu de cette marée de désintérêt général, une partie des citoyens portugais continue cependant encore à se laisser manipuler par le manège politicien national, qui à travers une communication rôdée, parvient tant bien que mal à leur faire croire qu'ils ont encore un quelconque semblant d'influence réelle avec leur vote.
Le saviez-vous ?
Même les rares portugais qui ont daigné se déplacer pour voter à l'occasion des dernières "élections européennes", ont compris à quel point leur vote était inutile et même méprisé.
Ainsi, ceux qui ont accordé leur voix à un des députés du PS portugais, se sont aperçus par la suite que ceux-ci ont en fait contribué à reconduire Barroso (parti de droite) à la tête de la commission européenne. Autrement dit, les votes de ces portugais sont directement allés à la poubelle !
On s'aperçoit de la façon dont est structuré le cœur technocrate de cette entité européenne, composée :
- De technocrates non élus (commission), donc sans aucune légitimité populaire démocratique car jamais élu par aucun citoyen, et qu'aucun d'entre eux ne peut évidemment encore moins "congédier".
- Et de technocrates pseudo-élus (députés européens), qui font en fait ce qu'ils veulent des votes qui leur ont été confiés.
Dans cet empire européen chancelant et pouvant aller jusqu'au risible, la réalité dépasse la fiction.
Destruction massive
Ainsi va le cirque politique avec au centre da la piste - cette europe - le triste clown de service commandant indirectement les opérations dans l'ombre, confortablement blotti dans son lointain bunker et se chargeant de réglementer les moindres parcelles de notre quotidien.
Comme dans les pays faisant partie de cette machine semeuse de peur, de chômage, de précarité et donc de violence, le gouvernement portugais se contente d'appliquer les directives dogmatiques. Il continue inlassablement à réduire les droits des citoyens, à détruire qualité de vie, acquis sociaux et services publics.
Et il anéantit en parallèle les classes moyennes; tout cela au profit du libéralisme fou et incontrôlé prôné et protégé par un monstre cannibale européen dont les règles immatures et perfides ravagent les finances et l'économie du Portugal et privent les portugais de la jouissance d'une "vie normale" à laquelle eux, peuvent légitimement prétendre en tant que citoyens et propriétaires de fait d'un pays qu'on leur confisque par morceaux.
Que du vide
Il n'existe plus de réelle politique interne. Tout juste un semblant de politique politicienne n'intéressant que les renards parvenus à s'insérer dans les poulaillers politiques qui les font vivre, ainsi que quelques médias qui tentent de tirer un quelconque profit du contexte en focalisant leurs titres sur les scandales ou les aspects-people de la politique, tout en omettant de braquer les projecteurs sur le sujet crucial et les véritables coupables.
Les émissions (dites) politiques diffusées sur les chaînes télévisées portugaises sont une véritable mascarade, ayant pour seul fil conducteur une pensée unique scrupuleusement euro-fabriquée et destinée à entretenir l'abrutissement des masses. Le pathétique s'y fond piteusement avec le caricatural. L'information relative à la politique y est lotie à la même enseigne, celle d'une pensée uniformisée qui se garde bien de ne jamais mettre en cause le immenses ravages de cette europe, mais au contraire de faire l'apologie autant que possible de ses prétendues vertus. La désinformation sur ce plan règne en maître absolu. Les portugais sont donc avec une totale certitude, entretenus désinformés sur cette question pourtant cruciale qui mine leur vie et leur avenir.
Les pseudos-politiques devenus les branches dénudées d'un arbre sec, ne servent à plus rien d'autre qu'à entretenir le décor planté et programmé par une petite oligarchie financière qui tient les rênes et la communication en europe. Plus aucune idéologie. Plus aucun projet de société; plus de projets fédérateurs nationaux, plus aucun vrai débat, plus aucune hauteur. Comme ailleurs dans cette UE, il n'y a même plus d'espoir ni de rêve. Entre entretien permanent de culpabilisation des divers segments de la population, contrôles, répression, frustrations et manipulations, on ne pense plus qu'à détruire les piliers de la société, et on ne fait qu'évoquer des sujets sans importance et d'une platitude capable de faire ressusciter Galilée.
Il n'en résulte que de la tristesse et du vide enfouis sous les décombres d'une europe morte-née, mais dont le fantôme parvient à maintenir sa terrible emprise et fait des ravages. Il ne reste plus aux professionnels de la politique que du travail d'épicerie redondante, un comptage de haricots entrecoupé par des slogans populistes et stériles, voire des sujets de caniveau, collant "intellectuellement" au vide des aspirations hypocrites de cette europe.
Que la population soit pillée par les règles absurdes de cette europe n'est pas leur affaire. Tout au plus ces politiciens devenus comme partout - europe oblige - de simples gestionnaires d'une dette créée par les dérives de cette machination européenne, peuvent-ils essayer de faire parler d'eux, ou encore s'enliser dans des pratiques douteuses, basées sur des affaires à répétition, des conflits d'intérêt, et allant de scandale en scandale.
Mais bien que distillant de la poudre aux yeux, la marge de manœuvre de ces politiciens asservis par cette eurocratie s'arrête pour ainsi dire là. Les directives de cette europe l'emportent sur les législations nationales réduites à leur plus simple expression. Cette europe a les mains libres. Le système peut donc laisser détruire, piller et précariser les citoyens par une oligarchie financière débridée et incontrôlable.
Le saviez-vous ?
Le Portugal a été pris au piège. Contrairement à l'idée soigneusement et (évidemment) volontairement répandue par une communication méticuleusement manipulée, le Portugal a été ruiné par son entrée dans cette europe.
Au Portugal comme ailleurs dans cette UE, "La bête européenne" a montré son pouvoir de destruction massif bien réel. Il est aisé pour quiconque de calculer le ratio entre d'une part :
- Les "pseudo-aides" reçues par le Portugal desquelles il faut déduire les contributions versées annuellement à l'europe par le pays
- Et les intérêts gigantesques cumulés extorqués au Portugal au fil des années d'adhésion à cette UE, et résultant de l'incroyable l'article 104 du traité de Maastricht.
Etant obligé de se financer uniquement auprès des banques privées afin d'obéir aux règles de cette europe, la "rançon" ahurissante payée par le Portugal année après année à ses "créanciers obligés", a ainsi généré la partie principale de sa dette actuelle. Le Portugal a donc été appauvri au fil des années par cette europe, et cela s'empire jour après jour. En entrant dans cette europe il s'est retrouvé à la totale merci des marchés financiers privés et des taux d'intérêt incontrôlés, ce qui ruine le pays et les portugais, à qui ont fait payer les hérésies des élites et de l'europe, et que par-dessus le marché... on se permet de culpabiliser et de saigner littéralement ! Il est inévitable que les portugais demandent un jour des comptes pour cette trahison historique. Les responsabilités jailliront. Malheureusement pour l'instant le mal est fait mais l'urgence prime...
Sortir de l'emprise de cette europe
Il y a urgence. Comme les autres européens pris au piège de cette lamentable imposture européenne, les portugais ont été poignardés avec violence, et se retrouvent les otages des marchés financiers. La blessure est profonde. Les souffrances et les conséquences sont immenses.
Pour que les portugais parviennent à arrêter l'hémorragie dont ils souffrent depuis leur adhésion à cette europe; puissent tenter de stopper ce véritable massacre imposé, et aient une chance de laisser un Portugal décent à leurs enfants, la question n'est plus de savoir SI il faut sortir de cette europe et de l'euro, une maladie grave qui les a conduits à ce désastre avec d'autres nations... mais QUAND et comment parvenir à s'enfuir de ce piège destructeur, immoral et pervers !
Un piège diabolique doublé d'une trahison
Ce piège européen est d'autant plus diabolique, qu'il amène désormais plusieurs
des pays piégés à se demander comment il pourra en sortir seul, tant que les autres demeureront coincés dans la gueule du loup. Cet aspect est désormais évoqué à demi-mot par certains politiciens rendus à l'évidence et se montrant dépassés. Une mise devant le fait accompli qui apporte un caractère plus insupportable encore au contexte. Le piège tendu par cette europe se retrouve désormais doublé d'un sentiment de trahison et d'impuissance face à l'emprise du monstre européen, qui tient l'ensemble de ses proies à pleines dents.
Et malheureusement, ce ne sont pas les politiciens qui les ont plongés dans cette galère anachronique, qui en tant que servants de cette incroyable machination, aideront leurs populations dans cette tache urgente, nécessaire et salvatrice, consistant à s'enfuir de cette entité eurocrate qui sème le chaos.
En attendant un "miracle" pouvant revêtir les formes les plus surprenantes voire inespérées, les portugais souffrent comme les autres de la grave maladie eurocrate qui les ronge. Ils continuent au quotidien à endurer les coups administrés à répétition par les immenses hérésies induites par cette europe. La question est inévitablement reposée : Combien de temps vont-ils encore pouvoir accepter d'endurer cette torture insupportable, et demeurer les tristes et injustes victimes de cette europe, ce gigantesque traquenard dans lequel ils ont été poussés sans ménagement et malgré eux ?
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire